Calmos, on voit bien d’où viennent vos références : Louis-Ferdinand Céline.
Bel écrivain, je vous l’accorde, mais piètres qualités humaines : antisémite notoire, collaborateur encore plus notoire. Quitte la France en 1944 (même pas l’élémentaire courage d’assumer ses opinions) dans les fourgons de l’armée hitlérienne en déroute, se retrouve à Baden-Baden, puis à Sigmaringen, s’enfuit au Danemark (encore occupé par les Allemands) pour y récupérer de l’or qu’il y avait planqué, là il est arrêté (aprés que les Allemands se soient débandés), il passe une année et demi en prison, puis pratiquement 5 ans en résidence surveillée. Condamné en France à une année de prison et à l’indignité nationale, il est amnistié en 1951 grâce au travail de son avocat, Tixier-VignancourT (une belle autre crapule d’extrême droite celui-là). Il fait de tristes magouilles pour pouvoir percevoir une retraite de médecin, profession qu’il a apprise mais pratiquement jamais pratiquée.
Voila ce que valent vos références Calmos, plutôt minables, mais venant de vous, celà ne me surprend pas.