Sauf qu’il s’agit de l’analyse qu’a fait Mme Royal de cette anecdote, pas forcément de l’état d’esprit dans lequel était réellement François Bayrou à ce moment-là. C’est donc bien elle qui ramène tout et de manière systématique à des questions de "machisme", de "domination" et de "mâle tout puissant", de "fantasme sexiste de la puissance virile".
Il s’agissait alors pour François Bayrou de faire un choix stratégique de la première importance, qui pouvait faire basculer le résultat de l’élection et qui allait déterminer son avenir pour les 5 ans à venir, voire au delà ; on aurait été hésitant à moins et ramener cela à une simple histoire de "crainte de la panne" en dit long sur la finesse politique de Mme Royal.
Par ailleurs, vous sombrez une fois encore dans la diffamation et le procès d’intention en prêtant des pensées à François Bayrou dont vous n’avez pas connaissance. A moins que vous ne soyiez, comme dans le film, "dans la peau de François Bayrou" ?