Oui.
C’est au peuple de réagir. Ceci-dit, il n’existe pas de leader pouvant ammener à cette définition sociale. Un leader ? Nous savons que les éléctions, n’ont de démocratique que le nom.
Il est bien clair que les décideurs ne sont pas "élus", mais sont confortablement "nommés" dans divers organismes qui construisent un mondialisme sans la voix des peuples. Le Gatt, la BCE, le FMI, l’OCDE... dans un autre registre le groupe Bildeberg (très discret, faisant peur au journalistes qui s’auto-sensures !) ; tout ces groupes étant les nouveaux rouages de cette mondialisation cachée et qui font fi des doléances citoyennes...
Je vois également, dans votre scénario, une ironie historique : le capitalisme engendrerai par son système une forme de communisme "utopique", en donnant un revenu minimum sans travailler. Ce qui est possible. Mais repenser une société de façon mondiale (8 milliards d’individus) sous cette forme est-elle possible ?
Je penserai plutôt à une vision, qu’on ces gens, de faire des employés rémunérés à la mission comme dans les interim. Le CDI et le CDD disparaitraient. Quand au sujet, le retour de la croissance, c’est un leurre pour pouvoir imposer dans quelques années cette politique de rémunération. Pour mieux faire accepter ce genre de choses, on prend les decisions maintenant, mais on les appliques plus tard ! Nous devrions pas tarder à voir des lois venir en ce sens, avec un programme d’application à l’orée des 2020.