• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de bourgpat

sur De la rétention de sûreté et de l'art de combattre le mal par le faux


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

bourgpat 23 janvier 2008 19:59

Une petite question à l’auteur.

Combien de maladies attendent la date anniversaire de l’hospitalisation pour une rémission spontannée. Combien de médecins se réunissent une fois l’an pour évaluer l’état d’avancement d’une pathologie.

Si vous avez été hospitalisés au cours des dernières années vous devez savoir que pour limiter le déficit de la sécurité sociale, on renvois les patients dés que possible chez eux quitte à faire finir certains soins de maniere ambulante par des infirmières libérales.

Mettons l’hypothèse que c’est une maladie et qu’il y a une rémission suffisante 3 mois après la date du derniers examen ; à quoi joue t’on pendant les 9 mois qu’il reste.

La médecine à bon dos dans cette affaire et l’ellargissement ds cas ou on pense utiliser cette chose en est l’une des preuves les plus flagrante.


Pour les cas Evrart, on a beaucoup parlé du fait que cette nouvelle chose serait pas pire qu’un internement d’office. Or il y a une différence dans le cadre d’un internement d’office, c’est qu’il faut le justifier par un risque pour la personne elle même ou pour un tier et non justifier pour sortir. Si les gardiens au lieux de vouloir utiliser leur enregistrement pour se dédouaner auprès du public l’avait transmis au préfet en justifiant ainsi de la dangerosité à un tier (puisque cela ne nécessite pas une preuve pénale) on ne s’amuserait pas à créer de nouveaux jouet législatifs racoleur pour détourner l’attention des responsabilités qui existent.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès