bonjour dugué
je n’ai pas lu le rapport et je ne le lirais certainement pas, car il y a longtemps que je ne souscrits plus a ce type d’attrape nigaud. en plein 21 siècle en metre encore a croire que le salut peut venir d’une commission d’experts, dont je ne mets pas en doute les compétences individuelles, mais dont les grandes lignes sont de relacer la croissance par la compétition sans entrave, en espérant que la dininution des prix augmente le pouvoir d’achat, c’est le discourt que je tenais en 1975. il c’est en partie réalisé dans certain secteur mais le différentiel qui s’en est dégagué s’est retrouvé dans la qualité des produits ce qui a eu pour résultat de développer une technicité qui a absorbé les résultats de cette compétition. j’ai particulièrement suivit cela dans l’automobile et le résultat fut une importante réduction d’éffectif, et des voitures de qualités dont le prix a toujours augmenté du fait du confort et de la sécurité. déjà dans ces années les projections envisagaient un regroupement des constructeurs avec une estimation pour notre pays du maintient de renault et peugeot comme grands constructeurs. certes le marché à été protégée jusqu’en 1999 des niponnes, mais il a constitué un marché secondaire de produits automobiles dont l’on a jamais mesuré les transferts d’emplois. dans l’agriculture on sait où cela a conduit, sans les montants compasatoires il n’y aurait plus d’agriculture, comme il n’y a plus eu de textiles, de botiers etc, et en 2008 l’on nous sort encore cette conerie dogmatique comme planche de salut. si c’était aussi simple faut-il croire alors que leurs prédécesseurs étaient des caves.
Est-ce que cela sort les USA de leur difficultés. je pense que certaines propositions doivent avoir un intérêt comme celles que tu cites, mais le fond est dans la disponibilité de la monaie qui circule et certainement pas de concurencer les produits inconcurenssables, qui nous importerons leur misérabilisme.
Bref nous sommes une fois encore dans l’agitation médiatico politique de la solution miracle. faute de lire le rapport je lirais ce qui s’en dit sur Agora.
cordialement.