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Commentaire de aequopulsatpede

sur AgoraVox devient la Fondation AgoraVox : nouveau modèle médiatique ?


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aequopulsatpede 25 janvier 2008 14:13

Quel mot ou quelle phrase serait élogieux dans cet article ?

Allez les moinsseurs, au travail !

Il vous faut quoi pour constater que cet article n’est pas un éloge mais une transcription du projet de Revelli ?

Un copié-collé ?

Le voici. Et lisez le bien ! Et veuillez constater qu’il est bourré de citations entre parenthèses du "boss" !

AgoraVox mue et lorgne la Belgique

VALERY SAINTGHISLAIN

mardi 22 janvier 2008, 11:19

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AgoraVox, le « média citoyen » français qui attire chaque jour 100.000 visiteurs uniques et regroupe aujourd’hui une communauté de près de 30.000 « journalistes citoyens », installera-t-il bientôt sa fondation en Belgique ? Selon son créateur, les probabilités sont grandes. Pourquoi chez nous et pas en France, là où le site a été créé fin 2005 ? Carlo Revelli l’a expliqué samedi à Mons, devant un parterre de journalistes, réunis lors du congrès de l’Union des Clubs de la presse de France et francophones. Il évoque également les raisons de ce choix sur le site (1).

La fondation parce qu’il entend avant tout « préserver l’indépendance éditoriale et financière » d’AgoraVox qui fait l’objet depuis un an d’approches de sociétés désireuses d’investir des fonds importants. « J’ai beaucoup hésité parce qu’un apport financier aurait facilité notre développement, reconnaît Carlo Revelli. Mais je perçois une incompatibilité intrinsèque entre un média dit « citoyen » ou participatif et une levée de fonds classiques ».

Moins coûteux, plus rapide

L’option de la fondation s’est imposée pour des considérations quasi sociophilosophiques. « Parce qu’elle garantit aussi aux rédacteurs et aux lecteurs une plus forte appropriation de leur journal  ». Cette fondation aurait dû naturellement voir le jour en France mais cela s’est vite avéré impossible. La seule perspective attrayante, celle de la fondation d’utilité publique, y nécessitait un an d’attente, un apport minimum d’un million d’euros et l’acceptation de voir siéger au conseil d’administration le ministre de l’Intérieur. Carlo Revelli s’est donc tourné vers l’Italie (son pays d’origine) et la Belgique où la législation est visiblement plus souple. « En Belgique, 25.000 euros et trois mois d’attente suffisent », répondait hier le boss d’AgoraVox à un internaute.

Depuis son lancement en 2005, le site a connu une explosion. Propriété de la société Cybion, pionnière en France dans la veille informatique sur Internet, il a été créé conjointement par Joël de Rosnay et Carlo Revelli, docteur en sciences de l’information. AgoraVox a vu le jour au lendemain du tsunami du 26 décembre 2004. « Cette catastrophe a été un vrai déclic. Elle a été la confirmation de ce que nous sommes tous des journalistes citoyens, capteurs d’infos et détenteurs d’opinion ».

Comme le résume Wikipédia, « AgoraVox est un site Web d’actualités alimenté par des rédacteurs volontaires et non professionnels ».

Chaque jour, une soixantaine d’articles sont proposés. Et chaque mois, 700 sont publiés après avoir franchi les filtres internes.

« L’objectif, souligne Carlo Revelli, était de faire remonter des informations différentes de celles que l’on trouvait jusqu’ici dans les médias traditionnels ».

Le précurseur de ce type de site est le coréen Ohmynews (2) avec 40.000 « citizens reporters ».

(1) www.agoravox.fr

 


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