Je partage une grande partie de votre point de vue. Violence médiatique à l’école = pénalisation = irresponsabilisation et asservissement des citoyens.
Vous n’avez pas mis en avant que l’on (JP Pernaud) confond, à dessein, plusieurs formes de violences telles que celle des enfants livrés plus ou moins à eux memes dans une cours de récré, une violence peut etre moderne qui gangrènerait les classes (alors qu’avant c’estois mieux), et la violence extérieure aux établissement, le tout emballé pesé pour simplifier jusqu’à la carricature une jeunesse qu’il serait de bon ton de punir et sanctionner.
Cela dit, si en effet les profs sont les plus formés pour gérer les classes, il ne faut pas non plus éviter les critiques pertinentes qui ne cherchent pas à incriminer mais plutôt à affiner les réglages. Par exemple, le savoir est-il trop académique (oui), la pédagogie est la parente pauvre de l’eseignement des profs (oui), les programmes sont (volontairement) ininteressants ou au contraire vidés de toute substance pour ne pas "effrayer" l’élève (cas de la physqiue et des maths jusqu’en 1ere par exemple), voire hors de tout contexte moderne (pour l’histoire qui est manifestement apprise à l’envers, du plus ancien vers le plus récent).
Quant aux parents d’élèves, alors la...