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Commentaire de eric

sur Les barbares


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eric 1er février 2008 22:16

Moi je connais le film et les gens dont il parle : C’est une des meilleures dénonciations des gens comme sophie. Quand le meurtre du père devient le seul moyen pour le fils de le retrouver malgré ses élécubrations 68 artde on ne peut imaginer symbole plus anti gauche. Le papa et ses copain passent le film à se demander qui sont les barbares mais finalement passent à côté de la réponse qui est pourtant dans la bouche de l’un d’eux. Ils sont tous passé par l’enseignement catho, ils sont tous profs, et leur conclusion à un moment et de dire, les jeunes sont barbares, Ah si ils avaient eu des profs comme les notres.... ! CQFD

Dans un monde ou les syndicalistes jouent de la batte de base ball pendant que les directrice d’hopitaux portent du faux channel en déblatérant des discours bureaucratiques pour enfumer l’usager et surtout ne rien faire, seul le Trader aura assez d’humanité pour récupérer la droguée, elle aussi plantée par sa mère enperpétuelle recherche personelle d’émanciaption sexuelle, sympathiser avec le flic, qui a tellement peur des journalistes bien pensant qu’il ne se permet d’être humain qu’en cachette et la bonne soeur qui sont les seules figures d’humanité dans ce meilleur des monde de gauche. A coup de fric, il passera outre à tous les égoisme de cette société socialiste, allant jusqu’à payer ( dans la version intégrale) même les amis de son père pour leur rappeller que l’amitié existe. Quand le papa se fait une douce douleur pour aller se faire soigner dans la libre amérique ou on soigne encore les gens faute de syndicat assez puissant, il rit jaune quand il dit god bless américa, car il comprend sans doute que c’est aussi quelque part parce que c’est une société chrétienne que l’amérique est humaine.

Même la soi disant libération sexuelle de son père est tournée en dérision quand on voit le boudin libéré qui le persécute sur son lit d’hopital comparé à la petite française " coincée de bonne famille" du fils, on sait tous quel est celui des deux qui est le plus à envier...Et quand celle ci dit ses souffrances d’enfant face aux conséquences de l’amour libre, de l’engagement réversible et de l’interdit d’interdire,on en pleurerait presque.

C’est un film résolument optimiste qui imagine que les enfants des barbares le seront moins qu’eux. Ce n’est pas l’hypothèse la plus vraisemblable. La génération 68 qui est en train de devenir la génération hypocondriaque des toujours jeunes ou encore jeunes n’est pas du tout sure de voir ses enfants trader à son chevet. D’ailleurs en général, ils sont intermittent du spectacle.

Et on voit la confirmation de ce que je disais sur les familles riches et pauvres. Le pakistannais lui à sa famille à l’hopital, les quebecois fonction publiques divorcés chantres des engagements reversibles meurent seuls comme ils ont laissé mourir leur parent (voir le film et les statistique sur la sociologie des caniculés)

C’est un film optimiste par ce qu’il croit que vos enfants, à vous qui êtes les vrais barbares le seront peut être moins que vous, mais rien n’est moins sur....

Souhaitons qu’il vous restera encore quelques bonnes soeurs pour vous tenir par la main... !

 


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