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Commentaire de vivre

sur Il y a des gifles qui se perdent : le professeur et le droit de correction


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vivre 2 février 2008 18:16

Contente de voir qu’un représentant du corps de la Gendarmerie ait témoigné sur ce forum. Nul ne doute que les gendarmes soient différents du reste de la population. Ils sont particulièrement sensibles au respect de l’autorité et à la justice. Les gendarmes-parents doivent être également embarrassés par cette histoire. .

 Dans ce cas de figure, 1) L’enseignant était probablement "à bout". 2) C’est d’abord un père, et non un gendarme, qui a vécu douloureusement une agression contre son fils (ceux qui sont parents comprendront). Son comportement est le reflet d’une panique viscérale (c’est peut-être un gros défaut pour un gendarme...) 3) Le père n’a pas eu la chance de rencontrer un responsable d’établissement scolaire très subtile (il y a des proviseurs et principaux qui sont d’excellents médiateurs) pour l’écouter et prendre les meilleures mesures. 4) Aucun supérieur hiérarchique de l’Education Nationale n’a été sollicité pour calmer le jeu.

BREF, C’EST LA LOI DE L’EMMERDEMENT MAXIMUM : tout s’est enchaîné (comme dans un crash d’avion) pour que cela devienne un méchant fait divers qui nous fait honte.


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