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  • vivre 3 novembre 2009 18:03


    Encore moi Vincent. Que veux-tu dire par un film plus « warholien, plus démultiplicateur d’images à l’instar de l’affiche patchwork » ?
     
    Pour ma part, j’ai apprécié que le film soit assez classique avec des cadrages stables ( prises de vue de travail). Cela nous a permis de voir une dernière fois Michael vraiment . Je n’ai regardé que lui la première fois ! Je n’aurais pas aimé le voir filmé avec une caméra trop dynamique comme on le fait souvent pour les diffusions TV afin de donner de la vie aux artistes... C’est souvent un « cache-misère » mais Michael n’en avait pas besoin !



  • vivre 3 novembre 2009 17:41

    Très bel hommage, Vincent. J’ai lu avec beaucoup de plaisir ce que tu dis sur This is it.
    J’ai adoré ton style et tes analyses. J’ai vu deux fois le film entre plaisir et larmes...
    J’ai une interprétation différente pour le duo « I can’t stop lovin you ». J’ai l’impression que la partenaire de Michael débute vraiment et son jeu de scène n’est pas adapté (raide, godiche). Michael essaie de la guider. Finalement, il joue le sentiment amoureux à la Chaplin (cligne des yeux, hausse les épaules en rythme), il passe à la comédie pour en rire ? s’en sortir ? agacé ? Situation analogue : Michael était l’invité d’une émission TV allemande années 90, trois animateurs s’exprimaient gaiement et bruyamment entre eux. Michael, assis dans un coin de canapé, était complètement oublié. Il a commencé à retirer délicatement les pétales d’une fleur dans un vase près de l’accoudoir (avec gestuelle et mimiques de Charlot). Toute la salle s’est mise à rire. Vraiment très chouette ton article.



  • vivre 2 février 2008 18:16

    Contente de voir qu’un représentant du corps de la Gendarmerie ait témoigné sur ce forum. Nul ne doute que les gendarmes soient différents du reste de la population. Ils sont particulièrement sensibles au respect de l’autorité et à la justice. Les gendarmes-parents doivent être également embarrassés par cette histoire. .

     Dans ce cas de figure, 1) L’enseignant était probablement "à bout". 2) C’est d’abord un père, et non un gendarme, qui a vécu douloureusement une agression contre son fils (ceux qui sont parents comprendront). Son comportement est le reflet d’une panique viscérale (c’est peut-être un gros défaut pour un gendarme...) 3) Le père n’a pas eu la chance de rencontrer un responsable d’établissement scolaire très subtile (il y a des proviseurs et principaux qui sont d’excellents médiateurs) pour l’écouter et prendre les meilleures mesures. 4) Aucun supérieur hiérarchique de l’Education Nationale n’a été sollicité pour calmer le jeu.

    BREF, C’EST LA LOI DE L’EMMERDEMENT MAXIMUM : tout s’est enchaîné (comme dans un crash d’avion) pour que cela devienne un méchant fait divers qui nous fait honte.



  • vivre 2 février 2008 17:38

    La scène décrite par le procureur Bernard Beffy n’a rien d’extraordinaire. C’est tout à fait ce qui peut se passer quand le professeur "n’en peut plus", usé par la journée, la semaine ou les années accumulées dans le métier.... La gifle et l’isolement de l’élève sont de trop, c’est vrai.

    LE PROFESSEUR AURAIT DÛ répondre à l’élève calmement : "nous allons travailler en groupe sur....voilà pourquoi j’ai besoin de la table". Etape suivante, à l’insulte "connard",il aurait dû arrêter son cours toujours calmement et envoyer le délégué de classe chercher le CPE (Conseiller Principal d’Education) pour qu’il vienne sortir l’enfant (mineur) de la classe. En tête à tête, le CPE aurait fait la morale à l’enfant et lui aurait demandé de préparer des excuses au professeur. Pendant ce temps, le professeur aurait repris calmement son cours devant une classe silencieuse et respectueuse.

    SEULEMENT VOILA ! Ce professeur a pris ce jour -là l’initiative et le risque de sortir du cadre habituel du cours face aux élèves pour créer un autre contexte de travail. Mais les enseignants savent que sortir de la routine pédagogique génère de l’excitation difficile à contrôler chez de jeunes enfants surtout s’ils sont habituellement agités. Pouvait-il faire appel au CPE ? Pas sûr ! (Celui-ci est débordé ailleurs, ... cela ne se fait pas,... cela révèlerait des difficultés pédagogiques...). Ce qui est dur pour un enseignant dans cette situation, c’est de gérer son attitude vis-à-vis de l’enfant tout en contrôlant la classe (contexte différent du parent excédé dans l’ambiance familiale). On peut se demander ici si les plaintes des deux enfants à la sortie du cours n’ont pas aggravé la situation (comportement de consommateurs ?). Par ailleurs, la direction de l’établissement scolaire aurait dû calmer la situation au lieu de l’envenimer . Comme dans tout autre milieu professionnel, elle aurait dû considérer le problème et l’enseignant après l’incident, sans panique et sans déjuger l’enseignant devant un père "remonté" mais surtout inquiet. Bref, c’est un métier !

    Les enseignants sont très isolés. Ils ne reçoivent pas de formation ni consigne en arrivant dans un établissement scolaire. Ils ne peuvent pas toujours s’appuyer sur leurs hiérarchies elles-mêmes inquiètes et exposées à l’opprobe de leurs chefs. Voilà pourquoi, il ne faut pas " jeter la pierre" sur cet enseignant peut-être fragilisé. Qui sommes-nous donc pour accepter que cet homme ait pu être gardé à vue et accusé publiquement d’avoir 0,3 mg d’alcool dans le sang ? Cet événement pose vraiment le grave problème actuel du respect vis-à-vis des éducateurs, parents, personnes âgées, forces de l’ordre...


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