bonjour diégo
il existe des idées, mais elles sont dans nos têtes d’où il faut une raison impérieuse pour l’en faire surgir.
il en existe mais illeur faut le temps de circuler d’imprégner les esprits et d’affronter la norme populaire, qui est un élément de stabilité dans laquelle par l’apprentissage l’on recommence les mêmes choses puisque nous les apprenons pour cela. ainsi nous ne sortons de ce processus que par choc et conflit. le conflit peur être grave (guerre etc.) mais aussi être d’idées et de conviction.
pour ma part j’ai écrit un essai où j’invite à tirer une source de revenu de l’apprentissage du savoir en rémunérant les adultes tout au long de l’existence pour qu’ils recoivent un enseignement universitaire, duquel ils en extirperont forcément quelque chose.
Consacrer une partie de son temps pour acquérir du savoir est certainement ce qu’il y a de plus productif.
Dans nos échanges souvent d’aucun flattent le capitalisme comme le seul acteur de notre développement.
Bien sur il ne s’agit que d’un discours de conviction car c’est avec le développement généralisé du savoir que c’est découvert tout ce dont nous faisons usage, et jamais des détenteurs de capitaux. Aujourd’hui où beaucoup d’entreprises disposent de centre de recherche, on a oublié d’où nous vient notre réussite.
Qui peut croire que c’est la monnaie qui invente et qu’il n’y a pas de salut en dehors d’elle. L’Egypte pharaonique ne disposait pas de capitaliste et ils ont tout de même laissé quelques oeuvres.
Si aujourd’hui c’est une source de motivation, pour qu’elle soit une régularité incontournable il faudrait que la monnaie soit née en même temps que l’homme. Donc les causes des découvertes qui nous valent notre aisance et nos déchets reposent sue des raison émotionnelle plus complexe parmi lesquelles l’on trouve le profit mais pas que lui.
Il y a donc de la place pour d’autres idées mais elle ne peuvent se départir d’une motivation et comprendre que par la maîtrise du savoir nous ferons face aux défis du siècle et une projection trop lointaine pour des hommes a qui l’on demande de ne regarder que l’immédiateté. Et pour notre avenir ils vaudrait mieux qu’ils fréquentent les université que les temple de la consommation.
Quand la république a rendu la scolarité obligatoire les parents disaient qu’ils ne pouvaient pas se passer du travail de leurs enfants. Si cela n’avait pas été tous ceux qui aujourd’hui détiennent les rênes des affaires et des banques grâce à l’usage de leurs connaissances n’existeraient pas.
Aujourd’hui l’on a le même parie car tout ce qu’il y a à apprendre pour être créatif ne peut se contenir dans la période de scolarité actuelle, et en plus en rémunérant ce temps comme un travail l’on est assuré de n’avoir personne dépourvu de ressource.
Cordialement.