Le peuple ,certes, peut se tromper, mais il est, en l’occurence,le dernier recours contre la monopolisation du pouvoir par une "elite" vouée au culte du "divin marché"
Il faut lire M.Jennar pour mesurer combien les choix bruxellois sont conditionnées par les principes néolibéraux (voir :La trahison des élites)
-Opinion : « l’économie communiste de marché »
"..... ; L’Europe est en passe de réaliser les projets constitutionnels de l’un des pères du fondamentalisme économique contemporain : Friedrich Hayek. Hayek a développé dans son oeuvre le projet d’une "démocratie limitée", dans laquelle la répartition du travail et des richesses, de même que la monnaie, seraient soustraites à la décision politique et aux aléas électoraux. Il vouait une véritable haine au syndicalisme et plus généralement à toutes les institutions fondées sur la solidarité, car il y voyait la résurgence de "l’idée atavique de justice distributive", qui ne peut conduire qu’à la ruine de "l’ordre spontané du marché" fondé sur la vérité des prix et la recherche du gain individuel. Ne croyant pas à "l’acteur rationnel" en économie, il se fiait à la sélection naturelle des règles et pratiques, par la mise en concurrence des droits et des cultures à l’échelle internationale...Cette "sécession des élites" (selon l’heureuse expression de Christopher Lasch) est conduite par un nouveau type de dirigeants (hauts fonctionnaires, anciens responsables communistes, militants maoïstes reconvertis dans les affaires) qui n’ont plus grand-chose à voir avec l’entrepreneur capitaliste traditionnel. Leur ligne de conduite a été exprimée il y a peu avec beaucoup de franchise et de clarté par l’un d’entre eux : il faut "défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance""
-Denis Kessler veut casser le contrat social
-AgoraVox le média citoyen : L’Europe : libérale toujours
-Notre Désillusion européenne
-L’Europe libérale se couche devant l’impérialisme américain