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Commentaire de karquen

sur Le monde est dur mais soyons sereins et apprenons à survivre !


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karquen karquen 9 février 2008 00:13

Décidemment M. Dugué j’aime bien vos articles. Je n’arrive pas à aller à l’opposer même avec mon sens critique en forme de guillotine. Il y a sans doute du vrai en vous et vos analyses.

Bon article !

L’appauvrissement je l’ai personnellement en Dolby suround autour de moi. Des jeunes qui ouvrent les portes de la poste et indiquent des guichets avec un Capes en histoire-géo ; des jeunes avec une maitrise qui sont caissiers au Lidl ; des actifs sans casiers judiciaires et toujours honnêtes qui travaillent et qui dorment dans des caravanes frigorifiques par ces temps, des retraités qui bouclent leur fin de mois par la diète (on dit disette ou rationnement ?)...

Biensur il y a les resto du coeur, biensur les associations, les "preneur en charge" de la misère... quand on se sent dans la misère ! Mais qui se sent dans la misère en travaillant ? en ayant cet espoir de jours meilleurs ?

On touche le fond avec la prostitution, symptôme d’une jeunesse issue des parents soixantuitards bernés et manipulés. Rien ne change jamais. Sauf le poid sur les épaules d’une population ahurie et footballisée, Dimanchisée à la Drucker, voir Dallassisée à la Pétrolière de France.

J’avoue rester coi quand à la dramaturgie qui entoure les resto du coeur - que j’aurai personnelement arrêté en 2008 pour trouver des solutions viables et rapides gouvernementales - par Madame Fadela ?

Tient ça serait pas mal que madame Coluche arrête les resto du coeur ! on verrai l’efficacité d’un gouvernement entièrement à l’écoute des "français". Le dédain me semble l’appanage du mondialisme Franco-français et je dirai - la caricature du mariage entre les seigneurs et leurs petits pauvres -.

La France à Faim, et on feind la... croissance economique...

En résumé, on monte pour un logement, et on ne descend plus dans les rues... signe des temps : les rues deviennent si sures que l’on préfère mourrir derrière des perciennes où trone l’effigie de Nicolas Bruni, en lieu et place des couleurs de 1789...


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