Commentaire de François Guillot
sur Quand le journalisme se fait démolir sur internet : le rapport au web
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En fait ce billet a été initialement publie sur mon blog ici et est découpé en trois parties : l’une sur le rapport des journalistes à Internet (sujet traité aujourd’hui), l’autre sur les complaisances (demain), la troisième sur le panurgisme rédactionnel (jeudi). Le passage sur les signaux faibles fait référence au sujet dont je parle demain. Il s’agira en gros de dire que les coulisses de la communication avec les journalistes, qu’elle soit borderline ou pas, deviennent publiques avec internet et que c’est un sujet à propos duquel on voit s’écrire de plus en plus de choses. D’où l’idée de signal faible.
Derniers commentaires
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16/02 18:35 - Atlantis
A lire ces différentes critiques, on se dit que la réconciliation des journalistes avec (...)
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12/02 20:52 - geko
Je vous lirais avec intérêt, le signal faible porteur de contradictions informationnelles me (...)
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12/02 19:29 - François Guillot
En fait ce billet a été initialement publie sur mon blog ici et est découpé en trois parties : (...)
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12/02 19:16 - geko
@ L’auteur que considérez vous comme des signaux faibles de l’opinion ? (...)
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12/02 18:26 - non666
L’humanité, le monde , liberation : cela fait 3 journaux de gauche "nationaux"pour
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12/02 18:17 - Internaute
On parle tout le temps de Libé et du Monde comme si c’était des références. Mais qui lit (...)
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