Effectivement sur la photo publiée par le Figaro on les vois tout bras tendu (heil !) Je cite un extrait de l’article du Figaro
Le Peuple de la liberté rassemblera l’ancienne formation du Cavaliere, Forza Italia, l’Alliance nationale (conservateur) de son allié Gianfranco Fini ainsi que la Ligue du Nord (populiste). Alessandra Mussolini, petite-fille du Duce, a annoncé que son petit parti d’extrême droite rejoindrait le Peuple de la liberté. Le PDL représente une force potentielle d’au moins 42 à 44 % de l’électorat.
Heu, tous ces partis, là, ils sont d’extrême droite. Je crois que Sarko et Berlu vont bien s’entendre avec tous leurs points communs
L’Alliance Nationale de Fini.
Bio de Fini : En 1987, il succède à Giorgio Almirante comme secrétaire national du Mouvement Social Italien Movimento Sociale Italiano - Destra Nazionale, parti né de la nostalgie du fascisme, et en reste le secrétaire jusqu’en 1990 (date à laquelle il est supplanté par Pino Rauti) et à nouveau à partir de juillet 1991. C’est l’époque où il croit encore à un héritage social du fascisme [1] et défend la mémoire de Mussolini. Ainsi en janvier 1990, il déclare « Personne ne peut nous demander d’abjurer notre matrice fasciste » puis affirme que « Mussolini a été le plus grand homme d’Etat du XXe siècle. Et s’il vivait aujourd’hui, il garantirait la liberté des Italiens » [2]. En 1992, il précise que « …Celui qui a été vaincu par les armes mais non pas par l’histoire est destiné à goûter à la douce saveur de la revanche… Après presque un demi-siècle, le fascisme est idéalement vivant. », et en juin 1994 : « Mussolini a été le plus grand homme d’Etat du siècle… Il y a des phases dans lesquelles la liberté n’est pas parmi les valeurs prééminentes. ».
Alessandra Mussolini
A quittée le parti ci-dessus trop mou
Ligue du Nord
La Ligue du nord (en italien, la Lega Nord per l’indipendenza della Padania) est un parti politique fédéraliste et régionaliste d’extrême-droite italien,Ses dirigeants se distinguent régulièrement par des propos violents, racistes et homophobes[1]. Les léguistes ne contentent pas de propos - souvent de simples rodomontades visant peut-être seulement à choquer - puisqu’ils ont nettement infléchi les décisions politiques au cours de leur participation au gouvernement, notamment en faisant adopter une loi interdisant aux marins de porter secours aux occupants d’embarcations en détresse quand ces derniers peuvent être soupçonnés d’être des candidats à l’immigration.