@ seespam et @ zamzam
1/ Je sais parfaitement de quoi je parle, je n’ai pas donner mon CV au premier plaisantin venu.
2/ Je suis comme comme Spartacus : toujours en alcoolémie zéro au volant (j’aime trop conduire)
3/ L’alcoolémie au volant est naturellement un problème (bien qu’en regression). Je voulais simplement dans mon post :
= mettre un peu d’humour (vous semblez étrangers à la notion)
=rapeller que la sécurité routière est dans une logique de cour d’école/ Elle ne reconnait comme cause des accidents que ce qu’elle peut mesurer de matière incontestable : la vitesse, l’alcool. Donc, ces deux facteurs se trouvent très logiquement en téte des causes officielles de mortalité.( vu que le reste , dans les débris, n’est que supputation : téléphone, inattention, prise d emédicaments, etc)
Jusqu’il y a peu , la detection des produits stupéfiants ou médicamenteux était impossible, du moins à force probante. Donc, tout le monde savait que les jeunes "roulaient plein phares", mais on ne pouvait pas le pouver, donc on n’en parlait pas.Officiellement, ca n’existait pas, puisqu’on n’avait pas de statistique.
Maintenant on peut détecter, donc on en parle : et les chiffres grimpent de manière exponentielle !!! Du reste, il n’y a pas besoin d’étre grand clerc pour voir que les jeunes ne marchent plus au beaujolais comme il y a 30 ans, mais aux amphét. et au shit.
Donc la menace pour demain, c’est celle-là. Tous les gens sérieux vous le diront.
Le problème est que l’on ne détecte actuellement les stup. que lors d’un accident corporel (avec confirmation à l’hopital par prise de sang). Ca fait très peu. Quand il y aura des dépistages systématiques (hors accident, hors infraction) des stup. , on va rire (jaune...)