Déjà, la première des choses, ce serait d’être courtois. Dire à quelqu’un avec lequel on n’est pas d’accord « Réveillez vous » ne donne pas envie de travailler ensemble.
Je ne vois pas dans votre commentaire bcp d’arguments en réponse à ma question. D’abord vous parlez du potentiel économique de la turquie et après vous digressez sur le fait que les « nonistes » véhiculent une fausse image de la Turquie.
Votre argument économique réduit la candidature turque à des histoire de gros sous. Certes, l’Union européenne a une forte dimension économique et financière, cela ne veut pas dire que c’est sa seule dimension. Le prérequis est l’attachement à des racines communes. Sinon, si c’est l’économie qui prime, alors pourquoi ne pas ouvrir l’Union à tous les pays économiquement prometteurs ? Pourquoi seulement la Turquie ?
Soit elle est européenne et elle a sa place dans l’Union, soit elle n’est pas européenne et elle n’a pas sa place dans l’Union. L’aspect économique n’a rien à voir.
Et puis votre façon de présenter, cela fait vraiment « pays à vendre » : si tu veux des parts de mon marché intérieur, acceptes moi dans l’Union !
Bref, rien de très convaincant.
Et enfin, puisque vous semblez dire que vous n’avez finalement pas tant besoin que cela de l’Union, dans ce cas, soyez cohérent avec vous-même et ne demandez pas l’adhésion : vous ne subirez pas l’humiliation d’un refus.
Icks PEY