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Commentaire de eric

sur Jusqu'où le débat politique peut-il descendre ?


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eric 27 février 2008 11:14

 

Vous avez la réponse à votre première question dans votre texte :

« les dernières élections présidentielles ? A cette époque, la France avait montré au monde entier qu’elle était capable de se passionner pour un débat politique de fond, elle était venue voter en masse au nom de ses convictions en faveur du candidat ou de la candidate qui avait le meilleur programme et qui incarnait le plus ses valeurs. »

Résultat pour l’opposition rejetée comme jamais, (46% contre un candidat selon eux assez mauvais et sortant de surcroit)

2 réactions possibles ;

- Se poser des vraies questions à gauche, et notamment comment sortir de sa niche sociologique (en ne proposant que des hausse d’impôts et du nombre de fonctionnaires les gauches répondaient aux demande de leur clientèle) pour s’intéresser à nouveau au reste du pays, mais alors, il y a risque d’éclatement

-  

- Attaquer une personne, très exactement un bouc émissaire des ses propres échecs.

En tenant le discours « oximorial » qui consiste à regretter à la fois le caractère insuffisamment « sacrale » de la présidence Sarkozy tout en lui reprochant d’être un monarque, la gauche avoue sa nature de groupe social stressé à la recherche d’une tête royale à couper pour apaiser ses angoisses intèrieures.

Plus encore que la fronde, menée par des aristospour défendre desintérêts peut être, il faudrait parler de la ligue, ou le « bas clergé intellectuel » baignés d’idéologie joua un rôle majeur.

MAM à raison de s’inquiéter d’un terrorisme possible. Il ne sera évidemment pas d’extrême gauche comme Ravaillac était un fou « sans rapport aucun avec la ligue ».

Quand tus le discours vise à démontrer que 1 tuer les tyrans est souhaitable, 2 Henry IV est un tyran, il n’est même pas besoin d’énoncer la troisième proposition pour que des tarés trouve tous seuls.


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