Effectivement, comme le souligne Bulu, il y a nettement une impression de fin de cycle, tout se délite à une vitesse sans cesse grandissante. Et l’augmentation de la vitesse est elle-même en accélération (au final on pourrait dire qu’il s’agit d’une accélération exponentielle). C’est un peu comme le bras d’un balancier qui serait presque au bas de sa course, l’apogée pouvant être 2012.
Après tout, et sans être spécialement prêt à tout gober et n’importe quoi, il y a des éléments troublants qui nous viennent de la nuit des temps et d’endroits très divers :
Les mayas, bien sûr
Le Y-King analysé par Terence McKenna
Des alignements surprenants en Egypte et au Cambodge (en vidéo en anglais mais bon c’est pas du Shakespeare...)
Les prédictions des indiens Hopis (même si la date de 2012 n’y apparaît pas clairement). Il s’agit plus d’un processus marqué par des étapes formulées, et c’est bien normal, en des termes imagés (exemple : Un cheval de fer viendra au pays de l’homme rouge, signifiant l’arrivée du chemin de fer). On y trouve des allusions à des événement relativement récents (L’homme blanc volera des roches de la lune. Ceci est un signe de danger car nous serons dans les derniers jours avant la purification).
Ceci dit, il semble évident que nous - au sens d’humanité - ne pourrons pas continuer longtemps comme nous le faisons actuellement, à piller les ressources, tuer animaux et plantes, avec une conscience proche de celle du fer à repasser. Même si nos "experts" cherchent à se faire rassurants en disant que finalement, les gars, les catastrophes naturelles, ça a toujours existé, vous faites pas de bile. Certes, mais il serait peut-être bon d’avoir la jugeotte de distinguer ce qui est naturel de ce qui ne l’est pas. Ah, c’est vrai, j’oubliais que pas mal d’experts sont salariés par des groupes industriels, pharmaceutiques ou autres. Prudence donc quant à leurs déclarations.
Mon souhait pour 2012 est que d’ici là nous nous regroupions en communautés afin de réfléchir au sujet de cette page : faire en sorte que tout un chacun puisse avoir un toît, de quoi manger, se vêtir, se soigner, s’éduquer et que les richesse de notre (encore) belle planète soient réparties équitablement, avec le souci de privilégier tout ce qui est renouvelable.