Bien argumenté, mais il faut aussi arrêter de consacrer et de valider toutes les infos (pseudo-objectives) qui nous sont présentées pour étayer et documenter une réforme de cette ampleur. L’application de cette mesure supposerait que pendant la période de détention de réels travaux et options de réeinsertions aient été entrepris pendant la détention.
Certains cas plus sensibles que d’autres nous font réagir ou s’inquiéter à juste titre, mais doit on prendre le risque de modifier les lois juste pour répondre à des émotions même légitimes ?
Prendre le risque de priver aprés une fin de peine, un individu, dont on a pas envisagé et organisé la ré insertion, deviendrait surtout un aveu flagrant de l’echec de la partie réhabilitation du sytéme judiciaire ! Et priver de cette possibilité 20 détenus parce ce que l’un d’entre eux aurait récidivé, que faut il en penser ?
Autre question : qui sera chargéde tester ces individus avant leur libération quels seront les critéres d’évaluations retenus ? Des Psy ;aprés certains errements de leurs convictions (Outreau) ...Hésitations.. !
Une nouvelle autorité indépendante, pourquoi pas, mais nous devons envisager que certains cas qui pourraient être évalueés poseront plus de questions qu’ils ne répondront aux émotions des victimes ou au objectifs de la ré insertion pendant et aprés l’incarcération d’un détenu.
La loi reconnait qu’en fin de peine la ’’dette ’’ a été réglé ; mais est ce seulement le cas pour un assassinat sordide, ou des agressions envers les enfants ou les personnes agées ! Et surtout si cela venait à toucher notre entourage ... !