Articles déplorables, de M. Massoulier, et de Marianne. Aucun élément de fait juste la vieille stigmatisation qui tient lieu d’analyse et de débat...
L’incommunicabilité sur le sujet est complète. Dès lors que l’on attaque ses interlocuteurs pour avancer une position de fait, il n’y a plus de débat, il y a dictature.
Votre article M. Massoulier ou celui de Marianne, nous donnent une idée ce que c’est que c’était de vivre dans un pays totalitaire, comme le furent le régime nazi, ou le système stalinien : on discrédite les adversaires, les opposants, les dissidents, sans jamais aborder une argumentation sur les faits. La pravda, célèbre journal officielle de propagande soviétique, fonctionnait comme cela.
Marion Cotillard a émis un opinion, un doute. Qu’y a t il de choquant ? Avons nous la liberté de conscience ? Ou bien c’est terminé, c’est du passé, on ne peut plus parler, penser, au risque de passer sous les fourches caudines des nouveaux censeurs, professionnels du déversement de lisier, incompétents notoires, qui se ridiculisent évidemment aux yeux de ceux qui ont pris le temps d’étudier les éléments factuels du dossier ?
Cette cabale journalistique est honteuse, et que les journalistes ne s’étonnent pas si leur ventes diminuent, , et Marion Cotillard devrait assumer ses propos, et entrer en conflit ouvert avec les medias qui la discréditent pour ses opinions.
Sur le fond, nul ne peut réellement savoir qui a organisé ces attentats. Mais ce qui est certain, c’est que toute enquête a été empêchée, qu’une chappe de plomb a été posé sur la teneur exacte des événements, et sur les causes de la chute du WTC7, et que le débat sur ce sujet, qui part en effet de vidéos prises le jour même et qui tendent à montrer qu’il y avait des séries d’explosions dans les tours, et que l’aeronef crashé dans le pentaone ne ressemble aucunement à un boeing.
Pour le reste, autant la thèse du comlot de 19 islamistes ne tient pas devout, autant accuser directement le gouvernement paraît intenable.
Cependant, des complicités internes (pour empêcher l’enquête et disperser l’armée avec des exercices de routine prenant place ce jour) furent évidemment nécessaire pour libérer le champ aux islamistes. Des complicités furent également nécessaires pour disposer les explosifs dans les tours.
Il ne s’agit peut-être pas du gouvernement, mais d’entreprises de sécurité privée, liées à des membres de l’administrations (Cheney et Rumsfeld semblenet être les mieux placés, notamment du fait de leurs liens avec divers groupes intéressés à une militarisation des Etats-Unis).
A moins que ce soient des islamistes qui aient disposé ces explosifs, ce qui est théoriquement possible, mais pratiquement peu crédible (il fallait des accréditations).
Mais de façon générale, si l’on discute avec des militaires, des agents des services de renseignement français (allemand aussi d’ailleurs), l’inanité de la thèse officielle est évidente.
Quant aux journalistes français qui discréditent Marion Cotillard, il faut les boycotter, ouvertement.