Reproduire les shémas religieux, user de leurs imperfections et de la dérive de leurs messages, eux même, troublés et complexifiés par les illuminés qui les ont traduits, occulter les discours et les méthodes d’endoctrinement internes, poser le doigt sur les injustices de la société civile et inonder, focaliser le regard de l’adepte sur les problèmes de la civilisation imparfaite, sans pour autant montrer qu’elle même, est noyautée par le pouvoir financier parallèle et insoupçonné que leur apportent les nombreux adeptes après le captage des patrimoines immobiliers, prendre la tête du matin très tôt jusqu’au soir très tard et bourrer le crâne afin que ceux-çi deviennent les meilleurs organes de propagande de leurs structures, contaminer les esprits jusqu’à l’acquiescement total de leurs discours, même les plus impensables, et déclencher l’illumination mentale contagieuse qui s’auto-émulsifie dans les esprits propices, cultiver la crédulité elle même née au sein de l’enseignement civil, user de la servilité contenue dans les gènes des adeptes descendants eux mêmes d’esclaves et de serfs, changer l’identité afin d’effacer le passé et ainsi soustraire l’adepte du monde réel en lui supprimant toute liberté, sauf ultra-sexuelle interne entre adeptes, couper le lien physique de l’adepte avec le monde et ainsi ruiner les chances de se confronter aux réalités extérieures, l’isoler de sa famille et l’enfermer dans un circuit interne où l’amour gratuit constitue le meilleur argument de bien-être exclusif invisible dans l’univers social parce que réservé au alcôves privées, infiltrer la justice, l’Eglise catholique, les industries, les institutions,, créer des réseaux tentaculaires non hyérarchisés permettant d’ignorer les liens étroits entretenus entre l’élite sectaire elle même implantée à tous les étages de toutes les sociétés et institutions civiles, et pratiquer le « secret « hors porte parole affilié est un non-problème pour l’averti.
Mais seulement pour l’averti,
car pour tous les autres, c’est un grave problème.