Il y a 60 agressions de professeurs par jour en France. Ce qui c’est passé est dramatique et montre l’aveuglement total de nos concitoyens. Aveuglement de bien-pensants qui sont prêts à sacrifier leur congénères sur l’autel de l’égalité mondiale et du droit de tous les peuples à venir en France.
Ces violences aux professeurs, ajoutées aux violences terribles contre les personnes comme Lilian ou les filles brûlées à l’acide ou celles brûlées dans les bus, que l’on qualifie tout à tour de raciste ou de faits divers selon l’appartenance de la victime à une communauté ou à une autre, n’existaient pas quand la France était encore peuplée d’européens.
Ceux qui ont voulu que le tiers-monde vienne en France doivent accepter de vivre comme dans le tiers-monde. Le Darfour, la Somalie, l’Afrique du Sud où l’on enseigne aux enfants de 10 ans à se défendre avec un pistolet, ce n’est pas seulement « vu à la télé ». C’est la réalité quotidienne dans ces pays et c’est vécu au Lycée ou dans nos rues lorsque nous faisons venir ces gens en Europe.
Le pire est que des hommes comme l’auteur, qui malgré tout sont bien conscients vu son âge et son parcours de l’évolution catastrophique des moeurs en France, continuent à être de toutes les batailles anti-françaises qui provoqueront à terme d’autres viols de professeurs, d’autres assassinats, d’autres victimes. Ils sont engoncés dans leur idéologie mondialiste et sont prêts à accepter n’importe quoi pourvu de ne pas être traités de racistes. Etre traité de raciste n’est vraiment pas la pire des infâmies. L’important est de défendre nos intérêts et ce qui reste de notre civilisation avant de sombrer définitivement dans le tiers-monde.
Nous sommes tous responsables du drame de cette enseignante. Nous sommes tous responsable par notre laxisme et notre bonne conscience acquise à peu de frais d’avoir introduit le loup dans la bergerie. Celui qui distribue notre nationalité à n’importe qui naissant en France est aussi responsable de ce qui nous arrive.