T’es un bon p’tit gars, niamasmescouilles, et j’adore ton sens aigü de la discussion et du dialogue constructif.
Là Castor, vous y allez fort quand même. Avec votre arrivée ’en classe les gauchos’, vous nous parlez de notre façon de discuter ? Et vous nous qualifiez de donneurs de leçons, de démocrates forcenés ? Mais on vous écoute nous ! Allez-y, et vous avez pas l’excuse de morice cette fois...
Comment on fait pour ces personnes qui travaillent pour 3 kopeks par mois et n’ont même pas de toit ? Je n’en fait pas partie et je n’ai pas à me plaindre. Mais on a quand même signé pour une constitution qui met les hommes avant les entreprises et l’économie non ?
Alors on fait quoi ? Mai 2008 ?? Les "droitos" sont les premiers à cracher sur Mai 68 alors que ça a été le véritable déclencheur de l’économie, donc de ce bordel. Alors on attend que le gars dont toute la famille travaille pour le MEDEF ou CARLYLE Group nous relance notre croissance et nous fasse monter notre pouvoir d’achat ? Ne me dîtes pas que vous croyez à ces chimères quand même !
Ensuite, Que les patrons n’embauchent pas pour le plaisir de licencier
Là je suis d’accord, par contre je veux bien affirmer qu’il en existe un paquet qui embauchent pour le plaisir d’exploiter et pour s’enrichir. Et qui en ont rien à foutre de licencier. Et ça porte, pour 1 patron, préjudice à des centaines de personnes quand des plans sociaux à la con arrivent alors qu’il n’y a pas lieu de les faire.
Concernant les faits et gestes et les jérémiades constantes, elles ne sont que le retour de batôn d’une campagne menée sur l’émotif et l’exaltation à outrance.
MON destin est entre mes mains certes, mais le destin des types dans la rue ou à l’usine n’est pas forcément entre leur main. Il font ce qu’on leur dit de faire sinon ils crèvent la dalle.