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Commentaire de Blogamax

sur Pouvons-nous parler de maturité chez les jeunes ?


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Blogamax 7 mars 2008 22:25

Voyons, ne me dites pas « en bon représentant de la maturité » si je ne suis point mature. Comment représenter (et être bon) une chose que nous sommes pas ? Je prends facilement la mouche ? Mais la votre était puante et parasite, il est normal que je la repousse d’un revers de main. Rappelons juste que pour une « broutille » vous avez remis en cause parents et professeurs. Es-ce ça être mûr ? Tirer des conclusions un peu vite... Pour le commentaire de Vincent, lisez donc son commentaire. J’essai d’avoir une réponse sur le sens du mot mature et lui me parle de ma fiche d’identité et ne s’exprime que sur une phrase à propos de mon article. Sans justifier le pourquoi du comment. Mais pour le simple plaisir de critiquer !

Le problème n’a pas été sur votre définition de « mûr » mais de mature. Même si cela n’est pas reconnu dans le « Littré » ni de l’académie, donc pas présent dans un véritable dictionnaire académique, le mot mâture avec un accent ne correspondra jamais à ma question. Donc il y avait bien une erreur de votre part, en parlant de mâture avec accent. Que celui-ci soit du jargon ou pas, le mot mâture n’a pas de sens dans son contexte. Alors que le mot mature est comme même plus en rapport avec mon article.

«  »Mature« m’apparait donc comme un mot issu d’un jargon (absence des dictionnaires académiques). Je nourris une certaine aversion pour l’emploi, en public, de quelque jargon que ce soit... ça me fait saigner les oreilles comme je l’ai dit (enfin écrit... soyons précis, vous avez raison). »

Il est donc si difficile d’admettre son erreur ? Nous sommes donc certain par l’illustration de votre mauvaise foi ambiante, que l’Homme descend du singe et essai de s’accrocher à chaque branche qu’il aperçoit (Je plaisante...). Car vous n’avez pas méprisé le mot « Mature » car il est issu d’un jargon, vous l’avez méprisé car vous n’avez vu aucune existence de ce mot en rapport avec la maturité. Par un accent de trop. Dommage !

Pour l’âge biologique, il y a un minimum avant de prétendre à être sage. Le minimum c’est l’expérience. Et à 17 ans, il est difficile d’avoir connu une foule d’expérience nous menant au statut de sage. Mais bon vous arrivez si tard, qu’un autre Agoravoxien a répondu à ma question. Il n’est pas académicien, mais à trouver un excellent article sur la maturité et ses différentes formes.

Donc le débat n’est pas à la sagesse ou autre. Je ne me suis pas penché sur la question. Et à vrai dire, je n’ai pas envie d’éterniser le débat à travers des commentaires. Ce qui m’étonne c’est la diversité des réponses qu’a déclenchées cet article sans grande prétention. Tout le monde m’affirme avoir la réponse, pourtant tout le monde ne dit pas la même chose. Certains répondent que maturité (dans le sens que j’emploi) c’est pour le végétal, d’autre non pas compris que cet article n’était pas une éloge à mon égard en me prétendant mature, d’autre m’ont incité à lever le nez du dictionnaire et vous vous me dites de plonger le nez dans le dictionnaire. Alors que cet article était un article seulement pour trouver une réponse précise à ma question de départ : « Peut-on parler de maturité chez les jeunes ? » J’ai du attendre « Looping » pour avoir une réponse répondant exactement à la question. Une question d’ordre psychologique et non purement académique, car cette question n’aurait plus de sens alors si je souhaite qu’un sens purement académique.

Bonne soirée. Ne prenez pas la peine d’étayer votre commentaire précédent j’ai eu ma réponse !


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