Pouvons-nous parler de maturité chez les jeunes ?
Parfois pour certains, souvent pour d’autres, les jeunes peuvent entendre le compliment suivant : "Tu es mature". Pouvons-nous parler d’un réel compliment ? Est-il pertinent ? Non et non ! La maturité a une qualité valorisante vraie pour aujourd’hui, mais fausse pour demain. Vrai, car il est l’accomplissement de soi, par l’atteinte de ses limites, nous sommes au meilleur de nous-mêmes. Faux, car il est le précédent d’un déclin proche. Car la maturité marque la fin d’une croissance, la fin d’une période d’apprentissage intense.
Le déclin est-il valorisant ? Non, je ne crois pas. Lorsque nous affirmons, nous vantons la qualité suivante, la maturité, nous omettons de préciser que la maturité est synonyme d’un futur certain, le déclin. Marquant l’amorce du processus de déchéance, sans précédent dans notre existence. Une déchéance par une stagnation, une régression d’une période de "croissance intellectuelle". Par stagnation, nous pouvons sous-entendre une certaine stabilité d’esprit.
interrogation1.jpg Je ne sais trop, si je suis dans la justesse depuis le début de cet article. Mais il est étonnant, plutôt intriguant de constater que nombreux d’entre nous, usons de ce terme "maturité" sûrement avec erreur. Car ce terme est souvent employé à propos des jeunes, rarement pour les « vieux ». Avant de continuer, je vous apporte deux définitions de maturité :
"Période de la vie qui se situe entre la jeunesse et la vieillesse." Dictionnaire, l’Internaute. "En général, la maturité est le caractère de ce qui est mûr, qui est considéré comme ayant atteint son plein développement." Définition de Wikipedia
Pour faire un parallèle avec mes études, le commerce parle ainsi du cycle de vie d’un produit :
Une phase de lancement, puis la croissance du produit qui arrive enfin à maturité, puis entre dans une période de déclin. Ressemblant étrangement au cycle de vie d’un être humain. La maturité est l’automne de la vie. Après un printemps, où les fleurs bourgeonnent, s’épanouissent, vient l’été où nous brillons de notre excellence, puis l’automne qui suit cette excellence, marque la maturité ainsi qu’un début de déclin, s’accentuant en hiver. La vie humaine se résume à quatre saisons. C’est pour cela que je m’interroge sur l’idée de maturité chez les jeunes. Est-ce réellement un bon qualificatif pour valoriser un élève ? J’estime que non. Si certains peuvent défendre l’emploi de maturité pour les jeunes, en estimant qu’elle est la fin d’une période d’adolescence, du passage d’enfant à adulte. Alors où est la composante de déclin ? Puis la maturité est maintenant une manière plus ou moins habile, de comparer à autrui. Etre mature est devenu une comparaison à une masse d’individus, à un groupe de personnes, souvent bien défini, comme une classe. Etre mature inclus d’être différent, de réagir de manière différente.
Voilà le sens que ce mot a pris à mes yeux, aux yeux de nombreux individus. Loin du sens premier de la définition "maturité". Nous avons exclus toutes idées de déclin. Plutôt étrange ma réflexion, non ? Je ne sais pas exactement, à quel moment je me suis questionné sur le réel sens de la maturité. Mais une fois mes recherches effectuées, je suis étonnement surpris : beaucoup d’entre nous faisons de ce mot un compliment propre à la jeunesse, ce qui est un tort. Tête d’ampoule de la série Malcolm.
Qui peut avoir l’amabilité de me présenter, si je suis dans l’erreur, le réel sens de maturité ? Je pense très fortement que ce mot est utilisé à tort. Comment alors évoquer, d’une façon beaucoup plus juste, ce que nous voulons exprimer par maturité ? Peut-être par le mot éveil. L’éveil intellectuel, par exemple. Avant cet éveil, sûrement que nous sommes, pour nous adolescents, plongés dans un profond sommeil d’ignorance et d’insouciance.
Maxime B.
Edit : un simple billet, sans grande prétention. Qui a pour unique objectif de soulever la question de la maturité chez les jeunes (au-delà du sens premier de la maturité).
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45 réactions à cet article
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@l’auteur,
Votre approche de la maturité porte à confusion ; vous me semblez mélanger maturité végétale et épanouissement psychologique et physiologique appliquée à l’être humain.
Si j’admets sans conteste que pour le végétal, la maturité est suivie d’une phase de dégérescence, le sens appliqué à l’homme ne possède en aucun cas cette suite.
Si nous prenons des exemples appliqués à l’homme, Bergson donne une approche de la période de la vie entre l’adolescence et la vieillesse, période durant laquelle les facultés humaines atteignent leur plus haut point de développement. Mais cela n’implique en aucun cas une dégénérescence des facultés (que nous constatons lors de la phase de vieillesse).
Si nous prenons l’exemple de la maturité sexuelle, votre propos consisterait-il à exprimer que dès lors que ce point est atteint, la sexualité se dégrade ? Franchement, j’en doute !
Etre au sommet de ses capacités peut durer longtemps.
En fait, il me semble que votre raisonnement est faussé par une approche croissance / décroissance en omettant les périodes de stabilité ; vision totalement tronquée de la nature humaine, même animale. Je vous recommande plutôt d’aller voir les définitions dans des dictionnaires épistémologiques et non des définitions approximatives comme celles que vous mettez en exergue.
En résumé, atteindre l’apogée de ses capacités ne correspond aucunement ni à l’apogée de ses connaissances, ni à la finalité de sa propre contruction individuelle.
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@ Christophe
« vous me semblez mélanger maturité végétale et épanouissement psychologique et physiologique appliquée à l’être humain. »
Voyons, voyons ne caricaturons pas. Lorsque j’évoque « un printemps, où les fleurs bourgeonnent, s’épanouissent » c’est une simple métaphore relativement légère, je le concède. Je ne mélange pas maturité végétale et l’épanouissement Humain.
« Le sens appliqué à l’homme ne possède en aucun cas cette suite ? » Quelle suite ? La « dégérescence » ? Je n’ai pas connaissance de ce mot, ni de sa signification. Sinon la dégénérescence est un terme dont j’ai connaissance. « Le sens appliqué à l’homme ne possède en aucun cas cette suite ? » Et la dégénérescence des cellules ? Non, je me trompe certainement. Mais à l’intérieur de mon article je n’ai pas usé de ce mot. Mais d’une phase de « déclin », de la fin d’une « croissance ». N’est-il pas vrai que l’Homme arrivant à maturité, va connaître par la suite une phase de déclin ? Ne me faites pas confiance, mais accordez une certaine crédibilité au Larousse. Définition de maturité : « Période de la vie comprise entre la jeunesse et la vieillesse. » La vieillesse n’est-elle pas synonyme de déclin ? D’un déclin physique, d’un déclin intellectuelle causé par de nombreuses maladies les touchant directement. Le déclin causé par la vieillesse est-elle une fiction ? Si oui, alors pourquoi s’inquiéter de la vieillesse, des trous de mémoire, d’une baisse de ses capacités physiques et mentales ?
« le sens appliqué à l’homme ne possède en aucun cas cette suite. »
Donc l’Homme selon vous ne connaît donc pas le déclin. Quelle utopie ! Pourtant le passage de la jeunesse à la vieillesse que marque le réel sens de la maturité n’est t-il pas synonyme d’une stabilité, d’une stagnation de ses capacités avant un déclin certain. N’a t-on pas connu des savants « devenus fous savants » par la vieillesse ?
« Bergson donne une approche de la période de la vie entre l’adolescence et la vieillesse, période durant laquelle les facultés humaines atteignent leur plus haut point de développement. Mais cela n’implique en aucun cas une dégénérescence des facultés (que nous constatons lors de la phase de vieillesse). »
Merci Bergson pour vos fameux travaux. Malgré que la vie entre l’adolescence et la vieillesse nous laisse une marge considérable pour admirer la maturité. Je n’ai jamais dit que maturité signifie déclin. Vous qui possédez des bases importantes dans les sciences dures, votre logique ne devrait pas être mise à mal par la chose suivante :
« Vrai, car il est l’accomplissement de soi, par l’atteinte de ses limites, nous sommes au meilleur de nous-mêmes. Faux, car il est le précédent d’un déclin proche. Car la maturité marque la fin d’une croissance, la fin d’une période d’apprentissage intense. »
Ce n’est que le déroulement logique d’une évolution de l’Homme. La maturité marque une certaine « stabilité d’esprit », mais si notre esprit fait preuve d’une stabilité, ce n’est que pour un certain temps, plus ou moins longs mais qui sera suivie d’une période de déclin. C’est la nature Humaine. Prenons votre exemple savant et qui illustre à merveille la situation, la maturité sexuelle. Soyons caricatural (après tout je confond la maturité végétal et celle de l’Homme). La maturité sexuelle c’est, par définition l’atteinte de ses performances les plus ultimes de notre vie. C’est notre plein épanouissement, c’est la jouissance à son comble.
Mais par cette jouissance qui est à son comble, cela reste vrai pour aujourd’hui, mais demain cette maturité n’est-elle pas fausse ? Demain peut-être, dans un jour, dans une semaine, dans un mois, dans une année, une décennie. Mais n’est-il pas concevable, de croire en la déficience à long terme de l’Homme. Sommes-nous à notre maturité sexuelle jusqu’à nos 60 ans ? 75 ans ? 90 ans ? Non je crois qu’il y a une période de déclin entre deux...
« Etre au sommet de ses capacités peut durer longtemps. »
Totalement d’accord, mais le temps est une valeur relative. Longtemps pour certain, peut-être peu pour d’autre. Mais longtemps ne signifie pas l’infinie. Or, après ce longtemps que ce passe t-il ? Une phase de déclin.
« En fait, il me semble que votre raisonnement est faussé par une approche croissance / décroissance en omettant les périodes de stabilité »
En fait, il me semble que votre raisonnement est faussé par une approche approximative de mon article / en omettant certaines phrases :
« Une déchéance par une stagnation, une régression d’une période de »croissance intellectuelle« . Par stagnation, nous pouvons sous-entendre une certaine stabilité d’esprit. »
Ceci va donc contredire votre dire. Qui prétend que mon article oubli la stabilité. Une régression d’une période de croissance intellectuelle signifie un ralentissement de la croissance. Puis après un ralentissement de la croissance, cela se stabilise. Après plus ou moins longtemps, cette période de stabilité entre en déclin. Pourquoi nier un déclin certain ? L’Homme est emprunt au déclin. C’est une réalité et une vérité.
« Je vous recommande plutôt d’aller voir les définitions dans des dictionnaires épistémologiques et non des définitions approximatives comme celles que vous mettez en exergue. »
Je vous propose donc de penser par vous même, et de me dire très franchement après lecture de ce commentaire si la maturité n’est-il pas un terme non approprié à la jeunesse. Si oui, alors nous sommes d’accord. Car votre commentaire ne réfute en aucun cas, l’objectif premier de cet article : consistant à savoir si la maturité est un terme pouvant être utilisé pour les jeunes !
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Petit coucou en passant au futur Manager en Management !
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@ Mescalina
Grand coucou à vous ! Concentrez vous donc sur mon article... Ne vous laissez donc pas distraire, comme un enfant rempli d’excitation et ne sachant se concentrer sur l’objectif premier : celui de lire un article ! Et non celui de commenter une description de ma personne. Ce n’est pas un club de rencontre... Mais de lecture !
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Un petit coucou spécial au comité de rédaction dont la "grande certitude" juge certains articles impubliables mais laisse passer celui-ci sans en avoir corrigé les fautes : "matures" avec un "S" en trop, "vrai" où il manque le "E"... Trouvez les autres, grands moralisateurs...
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@ Philippe Meoni
Pourquoi toujours un petit coucou ? Pourquoi ne pas faire de grand coucou ? Mon article comporte en effet quelques fautes d’orthographe. Mais si l’orthographe doit être une cause de non publication, votre profil n’a aucune raison d’exister. J’explique, votre description est la suivante :
« D’abord agoravoxien, la confrontation avec des article et commentaires de plus en plus limites, je sens ma lente dérive vers l’agoraphobie... »
« des article » ou des articles ? Ne manque t-il pas le « S » que vous me reprochez ?
Puis une autre chose, votre article, le seul, pourquoi ne pas vous acharner dessus ?
Première phrase de votre article :
« Puis-je vous avouer que nous sommes quelques-uns, perplexes et ébahis par l’image que renvoient les partis politiques, depuis quelques années, lors de leur prestations publiques ? »
« leur prestations » ou leurs prestations ? Résumons, l’orthographe qui est selon vous une faute grave, une cause de non publication. Donc suppression de votre profil et de votre article... Ne reprochez pas aux uns vos propres défauts. ! Dommage que cet article soit le mobile de votre défoulement envers Agoravox. Je fais des fautes d’orthographe, mais je ne le reproche pas aux autres. Faites-en autant... Puis un commentaire aussi stérile que le votre, peut être aussi le prétexte à la suppression de votre commentaire. Juger le fond de mon article, et non sa surface. Sauf si cela ne relève pas de vos capacités.
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Bah, ne t’inquiète pas trop. La maturité, même chez les " vieux ", c’est tout à fait subjectif. Il n’y a qu’à lire certains articles ici (dont les miens) et les commentaires qui vont avec.
Bonne continuation
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snoopy86 4 mars 2008 14:10Et si t’as des doutes sur ta maturité, essaie Meetic...
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@Argo
Je ne m’inquiète pas de la maturité, mais je m’inquiète sur l’utilisation de ce mot pour la jeunesse. L’objectif de cet article était de soulever un problème qui se pose à moi : « La maturité est-elle un terme approprié aux jeunes ? » Il est vrai que la maturité est une valeur subjective propre à chaque individu : l’âge de la maturité n’est pas égal pour tous. Mais n’est-il par certain qu’à 17 ans ou 18 ans que la maturité soit loin devant nous ? Voilà la question que je me pose. Je ne m’inquiète pas ! :D !
Merci pour votre commentaire et pour votre encouragement.
Bonne soirée.
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@Snoopy86
« Et si t’as des doutes sur ta maturité, essaie Meetic... » Le doute n’est pas de rigueur avec vous. Il est certain que la maturité, soit loin devant vous, très loin devant vous ! Un commentaire stérile et sans intérêt.
Merci pour votre contribution si précieuse Mr Snoopy86.
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Rapetout 4 mars 2008 14:39Pouvons-nous parler de jeunesse chez les mûrs ? (Et je ne parle même pas des blets)
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@ RAPETOUT
Merci de confirmer que la maturité n’est pas un terme pour la jeunesse. Votre commentaire demeure l’illustration parfaite du non sens de la maturité chez les jeunes.
Merci pour votre précieuse contribution.
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Bienvenue au jeune rédacteur.
Les parents reprochent à leurs jeunes leur manque de maturité
Certains hommes encore jeunes apprécient celle de la femme de 50 ans.
La maturité n’est ni une qualité ni un défaut, c’est un état, très subjectif au demeurant d’une période de note vie. Et en fait on devrait toujours faire le parallèle entre la maturité et l’âge physique. Un enfant de 8 ans peut être mur pour son âge.
On tendance à attendre de nos jeunes (période qui va de 15 à 28 ans) qu’ils soient des adultes responsables. Si nos jeunes veulent rester jeunes (complexe de Peter Pan) c’est peut-être que dehors le ciel est vraiment nuageux et donne pas envie de sortir !
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@ Fanfan1204
Merci pour votre accueil. Tout à fait d’accord avec votre description de la maturité. Mais le sens maturité inclus l’état entre la jeunesse et la vieillesse, difficilement concevable pour un jeune de 8 ans. Je pense que la plupart des gens, font l’amalgame entre maturité et éveil intellectuel. Le dictionnaire en ligne de « vulgaris-médical » :
« La maturation se définit par l’ensemble des phénomènes conduisant à la maturité correspondant à l’époque se situant entre la jeunesse et la vieillesse où l’être humain atteint un développement maximal de son système intellectuel et physique »
Le terme maturité n’est-il pas alors, un terme qui ne s’approprie par aux jeunes ?
Merci pour votre commentaire.
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Votre article et votre profil sont pour moi assez éloquents, ne seriez vous pas plutôt formaté en plus de vous penser mature ?
Juste un petit conseil au passage, pour votre formation, si vous en avez les capacités, intégrez un prépas et présentez une école de commerce, ce sera lus rentable qu’un DUT. Car à la sortie de celui-ci beaucoup veulent intégrer les écoles ce commerce et très peu y parviennent, alors si avec votre DUT Tech de Co vous ne voulez pas vous retrouver manger d’un rayon chez décathlon, ben présentez un école de commerce en passant par la case prépas.
Enfin, moi, c’est ce que j’en dis avec ma maturité d’un mec de 35 ans. Enfin avoir des projets à 17 ans c’est génial, mais deux choses, la première ceux-ci sont assez changeant et la seconde, il faut de donner les moyens de ses ambitions, ce que souvent on oublie.
Enfin bienvenu quand même parmi les rédacteurs et longue vie à vos article.
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Ah ces hommes d’expérience qui prennent les petits jeunes sous leur aile. C’est grâce à des mentalités telles que la vôtre Vincent qu’il existe des conflits de génération.
Et selon vous, faudrait-il exterminer les managers de rayon chez Décathlon ?? C’est pas très éthique de les laisser souffrir de cette horrible façon !
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@ Vincent « Ne seriez vosu pas plutôt formaté en plus de vous penser mature ? »
Rien que cette phrase me rappelle un type de personnage, un type de réflexion. Socrate a permis de mettre en évidence, que beaucoup trop de personnes font des raccourcis intellectuels lorsqu’ils sont confrontés à des situations diverses. Cette phrase relève d’une certaine doxa, d’une sorte d’automatisme plus ou moins intellect consistant à écrire, à rétorquer par des « formules choques » et vide de sens, ou en tout cas vide de fondement.
Mais bon revenons à vos raccourcis cérébraux, qui sont d’un « ridicule » sans égal sur ce forum. Suis-je formaté ? Peut-être, mais alors apporter moins la preuve de vos accusations. A quel moment lors de cet article ai-je fais preuve d’une attitude formatée ? Alors que j’essaie de m’éloigner de toutes idées reçues, des idées courantes en remettant en cause l’idée de maturité chez les jeunes, me voilà traité de conformiste, d’un comportement formaté. Avez vous souvent entendu le refus de l’idée de maturité chez les jeunes ? Venant d’autant plus d’un jeune. Je ne crois pas être formaté dans ma réflexion, plusieurs de mes proches (famille, amis, profs et autres...) peuvent en témoigner... Mais ce qui est regrettable c’est de savoir que si vous avez le sens de l’accusation, vous n’avez aucun sens de compréhension.
Je me pense « mature » ? Quelle idiotie de votre part. J’écris un article où je dénonce le non sens du mot mature pour les jeunes, et d’un amalgame probable autour de ce mot et voilà que vous me dites que je me crois « mature ». Alors j’admets deux hypothèses, la première vous avez un sérieux complexe d’infériorité, et pour valoriser un peu plus votre ego vous me rappelez que vous êtes l’aîné et qu’il vous appartient de déterminer ma maturité ou non. Par flatterie égocentrique. Le deuxième, vous accusez une sérieuse incompréhension autour de mon article, et n’avez en aucun cas saisis le sens de mon article. Personnellement j’opte pour les deux hypothèses. Je vous invite à la lecture de mon article.
Puis la seconde partie, l’immense partie de votre commentaire porte sur ma description (lisez ma nouvelle description !) :
« Juste un petit conseil au passage... »
Un petit conseil qui s’étend sur tout le long de votre commentaire. Alors si cela est un petit conseil, votre accusation du début, s’étendant sur une ligne, que peut-elle représenter ? Le néant ? Je n’ai pas besoin de vos conseils, ni de vos recommandations, ni de votre savoir, ni de votre expérience. J’ai pu juger votre personne, la qualité de votre raisonnement au début de votre commentaire. Je préfère ne pas prendre conseil de votre personne. Aucune humilité dans ce commentaire, mais aucune sagesse de votre part. Si vous avez atteint votre maturité, cela est inquiétant. Une certaine bassesse d’esprit dans votre raisonnement, dans vos conseils et vos propos….
Merci pour votre accueil !
Bonne soirée.
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Bon vous avez bouffé du lion ce soir ou quoi.
Dans mon commentaire, je ne voulais en aucun cas vous accuser, ni vous vexer
J’ai mi une ligne ou deux sur votre commentaire, car les remarques précédentes étaient suffisantes, comme vous l’avez fort bien compris c’est votre profil m’a interpelé,
J’y ai vu un Lycéen sur de lui, voulant manager, très bien, l’ambition ça compte.
Vous vous êtes senti blessé par mon commentaire et répondez de façon à essayer de faire du petit bois avec tout ce qui bouge, vous modifié votre profil afin de ne plus avoir de commentaires relatifs à celui-ci.
Vos réponses aux différents commentaires qui relèvent plus du ping pong ou du regarde moi j’tai cassééé et le fait d’aller se cacher (ne plus assumer la description dans son profil), sont des réactions bien puériles pour quelqu’un qui s’essaye à la définition de la maturité.
Bon cela dit, vous écrivez bien c’est déjà ça, au fait une dernière question à propos de votre article :
Est-il le fruit d’une recherche personnelle, ou le résultat d’une recherche suite à un devoir de philo à rendre ou déjà rendu pour lequel vous seriez particulièrement auto-satisfait au point d’en faire profiter la communauté Agoravoxienne ?
Aller on lettra sa sur le compte de la jeunesse fougueuse, gardez là, par contre évitez de sortir les griffes dès qu’un commentaire ne va pas dans le sens vous souhaitez.
C’est peut-être aussi cela la maturité, savoir écouter et ne pas réagir au quart de tour à la première petite pique.
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@ Vincent
Bonsoir, non votre commentaire ne m’a pas vexé, mais il était quelque peu accusateur... non ? Une question rhétorique est toujours une manière très habile d’accuser autrui, une manière très habile de faire passer un message. C’est à ce message que j’ai répondu, je ne vais pas revenir dessus, car je pense que vous avez compris parfaitement ma réponse.
Mon profil vous a interpellé, je l’ai bien compris. Mais le problème, c’est que vous n’êtes pas juge de ma personne. Car je ne suis pas là pour soumettre mon profil à l’avis des Internautes, je ne suis pas là pour être juger sur ce que je suis mais sur ce que je fais. Car mon être, vous le connaissez nullement. Vous n’avez aucune légitimité dans le jugement que vous faites de moi. Par contre vous avez toute votre légitimité de critiquer le travail que j’ai réalisé, la réflexion que j’ai mené. Car je l’ai soumis au jugement, et je l’accepte. Or votre commentaire accuse, sous forme de question rhétorique, sans jamais juger sur le fond. Aucune explication sur vos dires.
Donc non, je ne me suis pas senti blessé par votre commentaire, mais frustrer, un sentiment d’incompréhension face à vos réflexions. En effet, j’ai modifié mon profil, pour que ceci ne soit plus soumis à vos jugements sans fondement, sans aucun sens, avec aucune utilité dans le débat. Mes réponses aux commentaires, sont juste un droit de réponse. Certainement que pour vous c’est un effet « ping pong ». Moi je vois en cette démarche, quelque chose de responsable. Responsable de mon travail, de mes paroles, de mes actions. Je ne me défile pas face aux commentaires et explique le sens de ma réflexion. Pourquoi alors parler de « ping pong » « j’tai cassééé », je vous prie d’élever le débat, de ne pas le rabaisser à ça. Que c’est désagréable d’évoquer la réaction de puérile, alors que vous avez été incapable de me dire, de me répondre à mes questions dans le précédent commentaire. Si je suis puérile, vous êtes le lâche. Qui accuse mais qui ne justifie pas ces propos, qui refuse par ignorance de répondre à mes attentes vis-à-vis de vos accusations. N’es-ce pas une attitude puérile de ne pas assumer ces propos ? Je n’ai d’ailleurs pas eu la justification, qui selon vous, mon article était formaté.
L’attitude puérile propre à beaucoup de personnes, c’est le désir, la volonté de cataloguer chaque personne dans une catégorie à partir de quelques données plutôt vague. Moi je suis jeune, encore Lycéen, je m’étonne de certaines banalités du quotidien, j’aime la philosophie. Votre réaction est le résultat de ces seules données que vous disposer de moi. Donc cet article est une recherche purement et simplement personnelle. Ma réflexion n’est nullement le résultat d’un devoir de philo, donc je ne peux être ni auto satisfait, ni vouloir le faire partager à la communauté Agoravoxienne par « boulimie égocentrique ». L’information que vous ne disposez pas, c’est mes études actuelles qui bannissent quasiment la philosophie... C’est par appétit du savoir et non pour le savoir que je m’interroge sur pas mal de choses.
Encore un conseil de votre part, je ne dois pas sortir les griffes, alors je me permets de vous donner un conseil, évitez d’accuser avec précipitation et préparer une justification à ces accusations !
Bonne soirée et à bientôt, dans un autre débat j’espère !
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juste une citation :
"La maturité de l’homme, c’est d’avoir retrouvé le sérieux qu’on avait au jeu quand on était enfant". F. Nietzsche
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@ Fern
Merci pour votre charmante participation... Bonne soirée :)
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Mur par definition, c’est juste avant pourri.
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un vin arrivé à maturité donne le meilleur de lui-même : un goût incomparable et unique...
bienvenue à ce nouvel auteur !
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@ Rool
Votre éclaircissement sur la question reste d’une grande aide pour l’ensemble des individus présents. Aucune ironie dans ce commentaire...
Bonne soirée !
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@ Claude
Totalement d’accord avec votre description de la maturité. Car un vin arrivé à maturité, c’est un vin qui donne le meilleur de lui même... Qui est dans toute sa splendeur, dans toute son excellence !
Merci pour votre accueil !
Bonne soirée
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Merci de laisser la langue française dans l’état où vous l’avez trouvée ! (bel effort monsieur MEONI mais la faute la plus choquante n’est pas le s manquant à mature.... le mot mature, en lui-même, suffit à me faire saigner les oreilles... ).
En français, l’adjectif correct est "mûr" ... une personne, une idée ou un fruit est mûr lorsqu’il a atteint sa maturité ! Comme vous l’employez, mature est le terme anglais qui se traduit, en français, par l’adjectif "mûr(e)" (et comme chacun sait, en anglais les adjectifs ne s’accordent pas avec le sujet). le mot français mâture (notez bien l’accent) a bien un sens et désigne, au choix : l’ensemble des mats d’un navire ou d’un chapiteau / le bois utilisé pour fabriquer les-dits mâts / l’atelier où l’on fabrique les mâts. Ce que, bien sûr, l’auteur aurait constaté s’il avait eu la maturité d’aller chercher la définition exacte.
Peut-être est-ce pour cela que l’auteur n’a pas bien saisi le sens du mot... il ne regardait pas au bon endroit dans le dictionnaire ! Aurait-il cherché le bon mot qu’il aurait trouvé le sens dans lequel il peut s’appliquer à la jeunesse : "être mûr pour" s’emploie parfois pour dire "être prêt pour". Sans doute, aurait-il également appris qu’on qualifie de mûre une personne qui a acquis sagesse et experience. Le débat aurait été peut-être rapidement clos, peut-être pas... mais il lui aurait fallut de bien meilleures bases.
Le français est une langue piégeuse qui offre au même mot une collection de nuances en fonction du contexte et de l’interlocuteur. En règle générale, avant de débattre, de contester, il est de bon alois de s’assurer que l’on sait de quoi l’on parle sans seulement l’imaginer ou le deviner vaguement...
Contrairement aux apparences, je ne jette pas le haro sur le jeune rédacteur. Il n’est, hélas, pas seul dans son cas et probablement pas responsable, au final. Trois fois hélas, ses parents et/ou ses professeurs auraient dû lui enseigner à ne pas baser ses reflexions sur des mots mal définis. Pour interessante que la question de la maturité soit, elle est gachée içi par un manque patent de recherche et de maitrise.
à bonne entendeur,
ndnm.
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@ ndnm,
"Merci de laisser la langue française dans l’état où vous l’avez trouvée !"Comme vous le dites !"il est de bon alois de s’assurer"Sans "s" pour "aloi"."je ne jette pas le haro sur le jeune rédacteur"Euh, je crois qu’on écrit : "crier haro sur quelqu’un", le "haro" étant un cri."à bonne entendeur"
Non : "à bon entendeur" (entendeur est un nom masculin.)
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@ ndnm,
Je remets mon message en forme (je ne sais pas ce qui est arrivé) :
"Merci de laisser la langue française dans l’état où vous l’avez trouvée !"
Comme vous le dites !
"il est de bon alois de s’assurer..." Sans "s" pour "aloi".
"je ne jette pas le haro sur le jeune rédacteur..." Je crois qu’on écrit : "crier haro sur quelqu’un", le "haro"
étant un cri.
"à bonne entendeur"
Non : "à bon entendeur" (entendeur est un nom masculin.)
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> Pouvons-nous parler de maturité chez les jeunes ?
par 5A3N5D
(IP:xxx.x2.204.155) le 4 mars 2008 à 19H40Bravo :à 5A3N5D qui a bien taclé NDNM. Je trouve très bien qu’un jeune vienne sur un forum et s’essaie à l’écriture ; i l faut vraiment être bien mesquin pour chercher la petite bête et avoir autant de condescendance vis-à-vis des parents et des professeurs de ce jeune auteur.
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@ par ndnm
" Merci de laisser la langue française dans l’état où vous l’avez trouvée ! (bel effort monsieur MEONI mais la faute la plus choquante n’est pas le s manquant à mature.... le mot mature, en lui-même, suffit à me faire saigner les oreilles... ).
En français, l’adjectif correct est "mûr" ... une personne, une idée ou un fruit est mûr lorsqu’il a atteint sa maturité ! Comme vous l’employez, mature est le terme anglais qui se traduit, en français, par l’adjectif "mûr(e)" (et comme chacun sait, en anglais les adjectifs ne s’accordent pas avec le sujet). le mot français mâture (notez bien l’accent) a bien un sens et désigne, au choix : l’ensemble des mats d’un navire ou d’un chapiteau / le bois utilisé pour fabriquer les-dits mâts / l’atelier où l’on fabrique les mâts. Ce que, bien sûr, l’auteur aurait constaté s’il avait eu la maturité d’aller chercher la définition exacte.
"
l’adjectif mature existe en français :
"mature
mature [ matyʀ ]
(adjectif)
Parvenu à maturité, en parlant d’une cellule vivante.• Terme qualifiant les poissons femelles qui vont frayer.• [psych.] Qui a atteint sa maturité."
mature adjectif ( même forme au masculin et au féminin, pluriel matures ) Définition : 1. adulte d’un point de vue physique, intellectuel ou psychique
Synonyme : mûr
(une réaction mature)
2. biologie parvenu au stade final de son développement
(un ovule mature prêt à être fécondé)
3. zoologie prêt à frayer
(du poisson mature)c’est un mot fréquement utilisé dans le langage scientifique médical/biologique :
"""Tératome mature du médiastin (...)
But de l’étude : Cette étude rétrospective avait pour but de rapporter une série de 12 cas de tératome mature du médiastin opérés en l’espace de dix ans dans le même centre.
Patients et méthodes : De 1990 à 2000, 12 patients ont été opérés d’un tératome médiastinal mature. Il s’agissait de sept femmes et cinq hommes (âge moyen : 32 ans). (...)
Conclusion : Les tératomes matures sont des tumeurs du sujet jeune siégeant habituellement à l’étage moyen du médiastin antérieur, reconnues seulement par l’examen anatomopathologique de la pièce, qui ont un excellent pronostic après exerèse complète. (...) """
" L’Homme le plus mature de la Terre doit en être aussi le plus ennuyeux !" [Rémy Dubois]
il faudrait peut-être, que vous retourniez sur les bancs de l’école pour réapprendre votre vocabulaire !!!
- "Contrairement aux apparences, je ne jette pas le haro sur le jeune rédacteur. Il n’est, hélas, pas seul dans son cas et probablement pas responsable, au final. Trois fois hélas, ses parents et/ou ses professeurs auraient dû lui enseigner à ne pas baser ses reflexions sur des mots mal définis. Pour interessante que la question de la maturité soit, elle est gachée içi par un manque patent de recherche et de maitrise."
je crois que nous pouvons vous retourner la politesse
je rajouterai une petite citation, à celle mise plus haut, par un autre internaute :
" Je vois beaucoup de gens qui ont de la maturité politique, j’en vois moins qui ont la maturité humaine."
[Jean Rostand] [+]
Extrait des Inquiétudes d’un biologiste -
@ NDNM
Tout d’abord, je regrette d’être devancé par « 5A3N5D », même si je remercie de m’avoir mâché le travail. Mais à vrai dire, en toute franchise je vous avais réservé pour la fin ! Car les personnages de votre spécimen sont ceux qui me font le plus plaisir. Votre argumentation est souvent que palabre est chamaillerie littéraire. Mais lorsque nous voulons jouer sur ce terrain, encore faut-il maîtriser parfaitement la langue Française. Donc je ne vais pas revenir sur votre orthographe, même si le « à bonne entendeur » après une leçon d’orthographe m’a bien fait rire. Qu’importe si ce commentaire comporte des fautes d’orthographe. Moi je vais vous juger sur le fond des choses...
« En français, l’adjectif correct est »mûr« ... une personne, une idée ou un fruit est mûr lorsqu’il a atteint sa maturité ! Comme vous l’employez, mature est le terme anglais qui se traduit, en français, par l’adjectif »mûr(e)« (et comme chacun sait, en anglais les adjectifs ne s’accordent pas avec le sujet). le mot français mâture (notez bien l’accent) a bien un sens et désigne, au choix : l’ensemble des mats d’un navire ou d’un chapiteau / le bois utilisé pour fabriquer lesdits mâts / l’atelier où l’on fabrique les mâts. Ce que, bien sûr, l’auteur aurait constaté s’il avait eu la maturité d’aller chercher la définition exacte. »
Quel tohu-bohu de réflexion. Si je fais des fautes d’orthographe, votre raisonnement est difficilement compréhensible :
Donc en Français l’adjectif correct est « mûr » ? L’âge mûr est « l’âge qui suit la jeunesse » selon le dictionnaire (Larousse). Tiens étonnant, nous tournons en rond, et votre contribution n’apporte, pour l’instant aucun élément réellement nouveau.(Car si être mûr c’est l’âge après la jeunesse, alors ceci appuie mon point de vue : La maturité n’est pas un terme propre à la jeunesse. Puisque c’est après la jeunesse.) Donc si je comprend bien votre raisonnement, j’utilise mature qui n’a aucun sens en Français, mais qui à un sens en Anglais et qui se traduit « mûr » en Français ?
Revenons à la définition du mot mature en Français :
(Définition sur médiadico) « Qui a atteint sa maturité. » (Définition d’ordre psychologique)
« Ce que, bien sûr, l’auteur aurait constaté s’il avait eu la maturité d’aller chercher la définition exacte. »
Votre définition est hors contexte, précipitée et irréfléchie. Car la définition du mot « mature » (sans accent) a bien un sens psychologique. Il y a plusieurs définition pour le mot mature sans accent : « Se dit du poisson prêt à frayer : truite mature ».
Cette définition a autant d’utilité que la votre. Mais l’autre c’est une définition d’ordre psychologique et qui à un réel sens, celui d’atteindre la maturité. Auriez vous un manque de maturité pour vous précipitez dans vos arguments, quelques peu foireux, avec une définition hors contexte ? Ce qui est inquiétant, c’est que je viens de vous prouver que j’ai « eu la maturité d’aller chercher la définition exacte » du mot mature. Je suis contre l’emploi de ce mot pour les jeunes, apparemment vous ne l’avez pas compris. Par contre vous, vous n’avez eu aucune maturité pour rechercher plus longuement la définition du sens mature en psychologie. Dommage, la maturité viendra...un jour !
« Peut-être est-ce pour cela que l’auteur n’a pas bien saisi le sens du mot... il ne regardait pas au bon endroit dans le dictionnaire ! Aurait-il cherché le bon mot qu’il aurait trouvé le sens dans lequel il peut s’appliquer à la jeunesse : »être mûr pour« s’emploie parfois pour dire »être prêt pour« . Sans doute, aurait-il également appris qu’on qualifie de mûre une personne qui a acquis sagesse et expérience. Le débat aurait été peut-être rapidement clos, peut-être pas... mais il lui aurait fallut de bien meilleures bases. »
Donc, j’espère que vous avez l’ouverture d’esprit pour comprendre, que pour l’instant vous êtes dans l’erreur la plus totale qu’elle soit. Vous vous arrêtez à la mauvaise définition de mature (a cause d’un vulgaire accent), puis vous m’évoquez le terme mûr sans dire explicitement que le terme mûr c’est l’âge qui suit la jeunesse. Donc ce n’est pas à un jeune qu’on peut dire qu’il est mûr, puisque si il est mûr il n’est plus jeune. Donc ceci est remarquable, vous croyez imposer votre savoir, alors que celui-ci est complètement tronqué. Donc je pense avoir saisi plus amplement le sens du mot que vous. Vous vous tromper, vous faite preuve d’approximation sur les deux définitions. Avez vous maintenant saisi le mot « mature » ? J’espère. Puis le « il ne regardait pas au bon endroit dans le dictionnaire », je pense que vous allez avoir la sagesse d’admettre vos erreurs... Que c’est vous qui avez mal regarder le dictionnaire ! Et que vous vous êtes avancé trop vite...
« Sans doute, aurait-il également appris qu’on qualifie de mûre une personne qui a acquis sagesse et expérience. Le débat aurait été peut-être rapidement clos, peut-être pas »
Si je ne veux pas qu’on parle de maturité chez les jeunes, c’est certainement par respect des personnes réellement mature. Qui ont acquis sagesse et expérience. N’êtes vous pas d’accord maintenant, avec le principe que la maturité n’est pas un terme pour les jeunes ? Car les jeunes ne peuvent prétendre à la sagesse. Il est étonnant de voir, que l’intégralité des choses que vous me reprochez, ne sont enfaîte que des erreurs de votre parts. Ce n’est pas d’une grande importance, vous vous êtes rendu ridicule, c’est tout !
Le français est une langue piégeuse qui offre au même mot une collection de nuances en fonction du contexte et de l’interlocuteur. En règle générale, avant de débattre, de contester, il est de bon alois de s’assurer que l’on sait de quoi l’on parle sans seulement l’imaginer ou le deviner vaguement..."
Vous m’avez servi à une chose, à comprendre dans toutes sa splendeur cette phrase : « Faites ce que je dis, pas ce que je fais... » J’ai bien compris que le Français est une langue piégeuse, c’est certainement pour ça que je m’interroge sur le sens de la maturité pour les jeunes. Sauf que j’ai eu l’intelligence de regarder toutes les définitions existantes... Contrairement à vous qui vous vous arrêtez à la mauvaise définition. Et à une définition qui fait que confirmer ce que je dis « mûr ». Je suis donc dans le droit de débattre, de contester et de demander votre silence car votre commentaire n’a pas été le fruit de recherche sérieuse et de réponse pertinente.
« Contrairement aux apparences, je ne jette pas le haro sur le jeune rédacteur. Il n’est, hélas, pas seul dans son cas et probablement pas responsable, au final. Trois fois hélas, ses parents et/ou ses professeurs auraient dû lui enseigner à ne pas baser ses réflexions sur des mots mal définis. Pour intéressante que la question de la maturité soit, elle est gâchée ici par un manque patent de recherche et de maîtrise. »
Par contre la, on va vraiment pas être d’accord. Je suis plutôt remonté à la lecture de ceci. Autant tout votre commentaire m’a attiré la sympathie vis-à-vis de votre personnage burlesque et ignorant. Mais ne vous déresponsabilisé pas de vos paroles, de vos écrits. Il n’y a pas d’apparences, vous êtes ce que vous faites. Vous m’avez accusé à tord, vous avez voulu faire croire à la possession du savoir, vous êtes donc un ignorant vulgaire et méprisable. D’autant plus méprisable que la suite, la fin de votre commentaire me révolte. Je suis alors que peu satisfait de voir que cette discussion est virtuelle, car vos paroles sont inadmissible, intolérable et d’une extrême stupidité étant à la hauteur du personnage que vous êtes. Mes parents sont sûrement beaucoup plus intellect, beaucoup plus ouvert, beaucoup moins sujet à la doxa que vous. Mes parents ne sont nullement responsable de mes écrits, ni de mes paroles, ni de mes actions.
Pourquoi évoquer mes parents ? Car vous avez cru au savoir alors que vous êtes dans l’erreur depuis le début ? Mes professeurs sont d’une grande qualité, enseigne un savoir donc ne vous jouissez point. Pourquoi ne pas vous refaire votre éducation ? Pourquoi ne pas élever le savoir trop profondément enfoui en vous ? Pourquoi ne dégager qu’un tas d’accusation sans fondement, si ce n’est celui de l’erreur. J’ai donc bien défini, et je pense l’avoir prouver que les mots sont bien définis pour ma personne. Or, votre personne n’a nullement compris la définition des mots utilisés. Votre manque « patent de recherche et de maîtrise » n’est que le malheureux, le méprisable reflet de votre esprit. Car vous êtes, je le répète dans l’erreur depuis le début.
Merci pour la lecture de ce commentaire. J’espère que vous allez avoir une étincelle d’intelligence et de vérité qui va vous faire admettre que vous êtes dans l’erreur la plus profonde qu’elle soit.
Maxime B.
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@l’auteur,
Il ne faut pas tout confondre. Les poissons sont matures mais les hommes sont mûrs. (Cf Petit Larousse).
On vous pardonne car on sent bien que vous êtres frais comme un gardon.
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Non mais c’est bien intéressant tout ça, mais des fois, il faut un peu lever le nez du dictionnaire et voir ce que les gens entendent et expriment à travers les mots utilisés, parfois en utilisant des approximations de langage (qui méritent certes d’être relevées, mais si il faut faire un article sur agoravox a chaque fois on n’est pas rendus...). Lorsqu’on dit d’un jeune qu’il est "mature" ou "mur", ca sous-entend (oui car la langue française passe son temps a faire des sous-entendus qui ne sont pas forcément pris en compte dans le dico), ça sous-entend qu’il est plus mur ou mature que ce qu’on pourrait attendre de quelqu’un DE SON AGE. Il n’y a pas d’histoire de déclin puisque c’est applicable pour un âge donné et des attentes un peu inconscientes qu’on a par rapport a un jeune d’un âge donné. Un jeune comme blogamax (quel sourire ravageur soit dit en passant XDDD) peut être mature pour son âge (plus mature que ce qu’on estime etre le niveau de maturité moyen des jeunes du meme age), par exemple, mais pour autant, il n’a vraisemblablement pas encore atteint l’apogée qu’il connaitra sans doute un jour :D On est donc loin du déclin ! Et être mur pour son âge est, effectivement, un compliment !
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C’est vrai, beaucoup de sous-entendus mais définis nul part. Ce qui est étonnant. Pour un mot autant utilisé la « maturité ». Merci du compliment sa apaise mon mal de dos :D ! lol ! Je suis un peu tendu à cause d’un monsieur prétendant au savoir... Quelle tristesse !
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breizhnana 5 mars 2008 10:19La carte d’identité de l’auteur m’a moi aussi interpellée : "aucun commentaire pour faire taire les commentaires stériles"... Bon. Pour écrire, là, j’ai cliqué sur "écrire un commentaire". Mon commentaire va être stérile, je le sens, ah mon dieu.... Par rapport à d’autres articles où pullulent des parties de ping-pong délirantes qui deviennent une entrave à une lecture au moins normale, ici je n’ai vu que des interventions au moins cohérentes. Et je ne vois pas de quel droit un jeune auteur dont chacun jugera la maturité comme il le veut, s’arroge le pouvoir de juger nos commentaires stériles ou non. Moi déjà j’appelle ça de la fermeture d’esprit, et comme il a été dit plus haut la difficulté de s’ouvrir à des avis qui ne vont pas dans le même sens. Pour moi c’est en effet un manque de maturité pour un auteur. Ecrire ici c’est oser de frotter à un tas de choses, mais je trouve que vous avez plutôt été gâté du niveau des interventions sur votre article.
Par contre ça m’a gênée aussi de voir cette façon que vous avez de répondre systématiquement aux posts sans laisser le débat s’ouvrir entre nous, et la longueur sidérante de vos interventions. Un bon auteur doit aussi savoir faire court. Sinon la longueur des commentaires sur AV ça devient imbuvable. Logiquement un article devrait à peu près se suffire quand on veut faire passer un message.
Et sur le sujet, ça m’a aussi pas mal gênée d’associer maturité à déclin, et l’homme à un produit du commerce. Oubliez vos études de temps en temps, regardez autour de vous ce qu’est la vie et fréquentez un peu plus les plus de 50 ans. Et on en reparlera, du déclin de la maturité !! Renseignez vous à quel âge ont été faites les plus grandes découvertes, Pasteur, Jules Verne, Vinci...
Le premier commentaire de Christophe est à mon avis parfait sur le sujet, tout y est. Je n’ai rien à y ajouter. Si ce n’est sur la photo d’illustration genre premier de la classe, beurk... !!
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Décidemment les Agoravoxiens sont perturbés par cette « fiche d’identité ». Pour un simple rappel, ma fiche d’identité a été modifiée récemment. Car j’ai publié trois articles, et sur les trois articles une ou deux personnes jugent non pas mon article mais ma personne. Ce n’est pas le but recherché... selon moi. Donc les commentaires stériles ne sont pas l’ensemble des commentaires, mais les commentaires qui se base que sur ma fiche d’identité. Ceci est vraiment ridicule, car oublier d’abord le sujet et d’ouvrir le débat sur moi n’est pas intéressant. Donc non votre commentaire n’est pas du tout stérile, loin de là. « je n’ai vu que des interventions au moins cohérentes ». La cohérence c’est un peu comme le temps, un terme bien subjectif et relatif. « Et si t’as des doutes sur ta maturité, essaie Meetic... », voilà un commentaire sur mon article. Le « que » peut-être enlevé de votre commentaire, pour devenir « il y a » des commentaires cohérents sur cet article. Mais si les commentaires présentent un certains nombre d’accusations, un certains nombre de remarques laissez moi y répondre. Après tout j’ai écris cet article, je peux donc défendre mon article et faire parti du débat. Non ? Vous ne voyez pas de quel droit un jeune auteur peu juger un commentaire stérile ? Moi je le vois mon droit, c’est le même que le votre. Juger et défendre son article. Pour une dernière fois, je le répète les commentaires stériles font référence à ceux qui évoque que ma fiche d’identité en n’oubliant de parler de l’article. La fermeture d’esprit ? Car je juge des commentaires stériles ? Bon je pense que vous avez bien compris ce que j’appelle stérile... Mais la fermeture d’esprit n’est-elle pas celle de vouloir m’enfermer dans une catégorie « jeune ado » et de ne voir que de ça, et de palabrer sans cesse sur mon idendité ? Je ne sais pas, éclairez moi. Je ne comprend pas, qu’on puisse dire que j’ai une difficulté à m’ouvrir à d’autre avis. Je n’ai aucune difficulté, ci ce n’est que pour l’instant vos réponses ne sont pas suffisante pour m’ouvrir d’autres perspectives de réflexion sur le sujet.
« Logiquement un article devrait à peu près se suffire quand on veut faire passer un message. »
Logiquement si chacun prend le soin de bien lire mon article, de bien faire attention au définition l’article se suffit à lui même. Mais si on contredit mon article, pourquoi ne devrai-je pas défendre mon point de vu ? C’est un tort de défendre son opinion en prenant le soin d’argumenter ?
« d’associer maturité à déclin, et l’homme à un produit du commerce. » Sa vous gêne ? Voilà le problème, l’article ne peux pas se suffire à lui même, ni les commentaires car vous vous basez que sur une phrase et une idée. En oubliant tout ce qui va autour ! J’ai expliqué plusieurs fois, dans l’article, dans mes commentaires pourquoi j’évoque le déclin...
« Oubliez vos études de temps en temps, » J’ai oublié mes études dans 99 % de mon article, sauf quand j’évoque le commerce. Un mot. Ne caricaturez donc pas ! Les plus de cinquante ans j’en fréquente pas beaucoup, mais beaucoup de personnes adultes sont présent dans ma vie. Je discute beaucoup, encore il y a une heure j’ai pris la peine de discuter avec un Homme assez âgé militant de la Lutte ouvrière... Peut-être vais-je le revoir demain lors d’une réunion ! Ne me jugez donc pas sur des choses dont vous n’avez pas connaissance.
Vous n’avez pas réellement juger mon article, c’est à dire le fond. Mais juste la surface, ma fiche d’identité, les commentaires et mon âge qui ne me permet pas de juger un article stérile...
Puis n’estimez pas ma maturité, je suis contre ce terme. Si vous auriez lu mon article...si seulement ! Jugez donc le fond des choses !
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http://www.enneagramme.com/Articles/2004/EM_0403_a1.htm
ce lien définit assez clairement le sens que tu veux ne pas donner au mot maturation. il explique comment dans la maturation émotionnelle d’un individu il y a plusieurs degres. donc ce mot peut être appliqué aux jeunes vieux et bébés ou à la quarantaine... cependant ce n’est pas un dictionnaire je te l’accorde volontier et surement que plein d’études, article ect... la définnissent différement
voila je pense que ca resoud ton probleme de point de vue sur le sens que l’on y donne implicitement
le dictionnaire larousse ne le traite pas et wikipedia non plus mais leur définition n’a pas trait à l’abstrait mais au concret. tu devrais étudier les cours de psychologie qui y ont trait c’est à eux de définir correctement cela et d’en parler à l’académie francaise. car c’est a partir de leur interpretation du mot que nous l’utilisons selon toi a tort dans le language courant.
je citerai également wikipedia "L’organisme qui a atteint la maturité entrera éventuellement dans la phase de déclin ou sénescence. Le déclin est l’étape à laquelle l’organisme perd définitivement en complexité, en organisation, en sensibilité ou en force."
deplus je suis paresseux et donc j’éviterais de me lancer dans la recherche de l’éthymologie de ce mot mais il est possible que c’est de là que démarre la source de ce conflit.
pour un premier article ou presque à ta place je serais surement au taquet et je comprends ton attachement à prouver que tu soulèves un vrai problème mais pas à prouver que tu as raison.
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Merci pour la source, je n’ai lu que les premières lignes et je sens que cela va répondre à ma question... Ce qui est étonnant c’est de voir que beaucoup de commentaires se sont basés sur une autre définition de la maturité...et même certains on voulu faire croire que le mot « mature » n’a aucun rapport avec la maturité !
Je vais lire en détail votre source ! Cela paraît intéressant et va sûrement répondre à ma question. Car depuis le début, personne ne m’a apporté un élément concret de réponse. Et la j’en ai un ! Merci !
"pour un premier article ou presque à ta place je serais surement au taquet et je comprends ton attachement à prouver que tu soulèves un vrai problème mais pas à prouver que tu as raison."
Si vous ne comprenez pas mon attachement que j’ai à prouver que j’ai raison, c’est certainement que je n’attache pas une importance à prouver que j’ai raison ! J’explique, depuis le début, personne ne m’a apporté une réponse satisfaisante à mon interrogation. Donc il est évident que je vais vouloir prouver que leurs réponses ne sont pas satisfaisantes et ne répond pas au problème. « Qui peut avoir l’amabilité de me présenter, si je suis dans l’erreur, le réel sens de maturité ? » Dans mon article, je me prépare à me tromper sur la question ! Et je demande à l’ensemble des personnes de me « PRESENTER le réel sens de maturité » dans le contexte de la jeunesse...
Mais bon je vais lire votre source. Encore merci pour votre précieuse contribution...
Et puis, je suis jeune (comme vous !?), c’est vrai, mais ce n’est pas mon premier article, ni mon deuxième, ni mon dixième d’ailleurs ! Mais si nous évoquons mes articles sur Agoravox alors oui... je suis nouveau dans le domaine !
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maturité : nom féminin,
désigne le degrés d’ouverture d’esprit, de recul et de responsabilité (de ses actes et non hiérarchique) d’un individu dans un tissu social (famille, entreprise...)
exemple :
ce jeune fait preuve d’une grande maturité pour son âge = ce jeune fait preuve d’un sens particulièrement dévellopé d’ouverture et/ou de recul et/ou de responsabilité pour son âge.
cette femme a acquis une certaine maturité depuis que son mari est mort = cette femme a progressé dans son ouverture et/ou son recul et/ou son sens de la responsabilité par cause du deuil de son époux.
qu’est ce que tu en penses ? lol. bon ok ce n’est pas terrible hihi.mais bon je suis loin d’être académicien.
ton raisonnement par l’absurde n’est pas forcément justifié (personne prouve que j’ai tort => j’ai raison... et meme pire je prouve qu’ils ont tort => j’ai raison !)
peut être que ce qui peuvent te répondre ne l’ont pas fait à cause du fait que tu pourras toujours nier en disant "ce n’est pas dans le larousse !" et d’ailleurs toi qui aime jouer sur les mots tu devrais bien voir la faiblesse de dire que tu défends ton idée au lieu de la soutenir ! (tu verras la différence de notation si tu défends ta thèse plutot que de la soutenir à un examen...)
on est pas dans une confrontation (c’est aps la guerre !) mais dans un échange... sinon c’est fatiguant et ca amène souvent à de la mauvaise foi et il n y a rien de plus inconstructif, saoulant, barbant... même si il y a un fond interressant
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@ Looping
Vos « définitions » font l’effet d’une incroyable lumière sur ce mot... Vos deux commentaires ont bien répondus à ma question. J’ai donc parler de question...et non de thèse ! Bon sinon je ne suis pas d’accord avec vous. Mais vous allez vite comprendre, comme vous m’avez vite faite comprendre le sens de maturité !
Enfin tout d’abord je pense que du bien de votre définition... Mais pas de votre raisonnement suivant votre définition ! :D !
Ce n’est pas un raisonnement par l’absurde. Loin de là !
« ton raisonnement par l’absurde n’est pas forcément justifié (personne prouve que j’ai tort => j’ai raison... et meme pire je prouve qu’ils ont tort => j’ai raison !) »
Il n’est pas justifié car il n’a pas lieu ! Car je n’affirme pas du tout avoir raison sur la question, je m’interroge dessus ! Ce n’est pas la même chose. Après je ne dis pas qu’ils ont tort, mais qu’ils ne répondent pas à la question que je me pose. Ils répondent à d’autres questions, le sens de maturité chez les végétaux, le sens de mature dans le domaine des bateaux. Bref ce n’est pas ma question !
« J’explique, depuis le début, personne ne m’a apporté une réponse satisfaisante à mon interrogation. Donc il est évident que je vais vouloir prouver que leurs réponses ne sont pas satisfaisantes et ne répond pas au problème. »
Ceci ne dit nullement que je veux avoir raison sur la question. Ceci indique simplement mon manque de réponse face à la question. La non satisfaction face à « mon » problème ! Je parle donc bien de « mon interrogation ». Après je suis obliger de leurs « prouver » que leurs réponses ne me satisfait pas, car sinon mon problème ne sera jamais résolu ! Logique non ? Car si je l’ai remercie d’avoir répondu à ma question, alors que j’estime que le problème est ailleurs mon interrogation restera interrogation ! C’est dommage comme même !
Enfin bon...
« et d’ailleurs toi qui aime jouer sur les mots tu devrais bien voir la faiblesse de dire que tu défends ton idée au lieu de la soutenir ! »
Je défends mon idée car elle est attaquée du mauvais côté. Lorsque nous la prenons du bon côté, je ne prends même pas la peine de la soutenir car cette idée, cet « opinion ». (opinion est d’ailleurs un abus de langage dans ce contexte :D ) Car ce n’était plus une question, un problème que je n’arrivais pas à résoudre ! Puis pour une thèse (en examen), je me vois mal défendre mon opinion, car je la défends à partir du moment qu’elle est attaqué. Non ? Et je la soutiens d’abord... Sauf si tu me parles d’un examen avec une thèse orale où le correcteur intervient régulièrement pour me contredire ? (Sa existe ?) Défendre implique donc d’être attaqué. Donc pour l’examen il n’y a pas de soucis je soutiens ma thèse !
Et puis, quand tu parles de « confrontation », ce n’est pas de moi mais d’un autre Agoravoxien qui utilise ce terme. C’est pour ça qu’il est entre guillemet et en gras ! :D !!
Merci d’avoir répondu à ma question, d’avoir pris réellement mon interrogation dans le contexte que j’utilisé (la jeunesse) !
Merci, Bonne journée.
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allez t’inquiète je titille pour le plaisir ! ^^ désolé.
@+ et sans rancune j’éspère !
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Pourquoi avoir de la rancune ? Je trouve sa plutôt marrant... même si vous avez trop souvent tort ce qui me facilite donc la tâche ! Je plaisante ! Merci pour votre défintion de mature.
A bientôt dans un autre débat !
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cher Blogamax,
D’une part, je vois qu’en bon représentant de la maturité vous prenez facilement la mouche et que les insultes fusent alors... j’adore quand l’ambiance s’échauffe pour des broutilles. Moyennant quoi, il ne faut vous arreter à la forme mais bien comprendre ce que j’exprimais, sur le fond. Le commentaire de vincent exprime, d’une manière plus polie et moins provocatrice que je ne l’aurai fait, ce que votre réaction à ma provoc’ à deux balle a eu comme effet sur vous. Mais, je suis mûr pour affronter vos griffes de lion et sans en prendre ombrage car vous le découvrirez, à l’usage, si je suis provocateur, je sais aussi prendre le recul necessaire pour débattre.
Pour aller vite et formuler les choses d’une manière qui vous heurtera peut-être moins : votre définition (ou celle de mediadico ou de qui vous voudrez mais pas du littré ni de l’académie) du mot "mature" en français correspond très exactement à l’un des sens de mûr en français académique. J’avoue avoir pousser un peu loin le bouchon de la provocation mais relisez mon commentaire premier, aussi pénible que cela soit pour vous, vous constaterez que je donne bien plusieurs sens au mot "mûr"...
"Mature" m’apparait donc comme un mot issu d’un jargon (absence des dictionnaires académiques). Je nourris une certaine aversion pour l’emploi, en public, de quelque jargon que ce soit... ça me fait saigner les oreilles comme je l’ai dit (enfin écrit... soyons précis, vous avez raison).
Or donc, pour faire progresser un peu le débat et aller au dela du duel vocabulaire contre jargon :
"N’êtes vous pas d’accord maintenant, avec le principe que la maturité n’est pas un terme pour les jeunes ? Car les jeunes ne peuvent prétendre à la sagesse"
Non.
Comme vous l’avez observé vous-même, l’âge biologique n’est pas ce qui conditionne la sagesse de l’esprit. En premier lieu parce que tous les individus n’ont pas, dans le même laps de temps, la même richesse d’expérience. En second lieu, parce que diffférents individus retireront plus ou moins de sagesse lorsqu’ils sont confrontés à la même expérience. Il est vrai que je suppose que vous employez le mot "jeune" en vous référant à l’âge biologique, faute de quoi la question n’a pas de sens.
Pour répondre oui ou non, il faut ensuite savoir si la notion de sagesse peut être définie de manière universelle.... existe-t-il une sorte de seuil à partir duquel on peut être qualifié de sage ... ? Ma réponse est non. Mais mon heure de départ approche, j’étofferai donc ma réponse un peu plus tard.
5a3n5d,
au temps pour moi (sans vouloir lancer un débat, ce sont bien les mots de l’expression :op), entendeur est bien un mot masculin dont la sonorité associée à mon empressement à conclure mon commentaire ont eu raison de mon orthographe si fragile.
En revanche, je suis relativement certain qu’on "jete le haro" sur quelqu’un... une sorte d’expression consacrée. Mais peut-être me trompe-je. Auriez-vous des références à ce sujet (non internautes part pitié)...
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Ah de la modération... Comme c’est plus agréable ! Je vais donc être beaucoup plus modéré dans mon commentaire.
Je n’ai pas le temps de vous répondre tout de suite !
Merci pour votre modération. Dommage qu’elle arrive si tard.
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Voyons, ne me dites pas « en bon représentant de la maturité » si je ne suis point mature. Comment représenter (et être bon) une chose que nous sommes pas ? Je prends facilement la mouche ? Mais la votre était puante et parasite, il est normal que je la repousse d’un revers de main. Rappelons juste que pour une « broutille » vous avez remis en cause parents et professeurs. Es-ce ça être mûr ? Tirer des conclusions un peu vite... Pour le commentaire de Vincent, lisez donc son commentaire. J’essai d’avoir une réponse sur le sens du mot mature et lui me parle de ma fiche d’identité et ne s’exprime que sur une phrase à propos de mon article. Sans justifier le pourquoi du comment. Mais pour le simple plaisir de critiquer !
Le problème n’a pas été sur votre définition de « mûr » mais de mature. Même si cela n’est pas reconnu dans le « Littré » ni de l’académie, donc pas présent dans un véritable dictionnaire académique, le mot mâture avec un accent ne correspondra jamais à ma question. Donc il y avait bien une erreur de votre part, en parlant de mâture avec accent. Que celui-ci soit du jargon ou pas, le mot mâture n’a pas de sens dans son contexte. Alors que le mot mature est comme même plus en rapport avec mon article.
« »Mature« m’apparait donc comme un mot issu d’un jargon (absence des dictionnaires académiques). Je nourris une certaine aversion pour l’emploi, en public, de quelque jargon que ce soit... ça me fait saigner les oreilles comme je l’ai dit (enfin écrit... soyons précis, vous avez raison). »
Il est donc si difficile d’admettre son erreur ? Nous sommes donc certain par l’illustration de votre mauvaise foi ambiante, que l’Homme descend du singe et essai de s’accrocher à chaque branche qu’il aperçoit (Je plaisante...). Car vous n’avez pas méprisé le mot « Mature » car il est issu d’un jargon, vous l’avez méprisé car vous n’avez vu aucune existence de ce mot en rapport avec la maturité. Par un accent de trop. Dommage !
Pour l’âge biologique, il y a un minimum avant de prétendre à être sage. Le minimum c’est l’expérience. Et à 17 ans, il est difficile d’avoir connu une foule d’expérience nous menant au statut de sage. Mais bon vous arrivez si tard, qu’un autre Agoravoxien a répondu à ma question. Il n’est pas académicien, mais à trouver un excellent article sur la maturité et ses différentes formes.
Donc le débat n’est pas à la sagesse ou autre. Je ne me suis pas penché sur la question. Et à vrai dire, je n’ai pas envie d’éterniser le débat à travers des commentaires. Ce qui m’étonne c’est la diversité des réponses qu’a déclenchées cet article sans grande prétention. Tout le monde m’affirme avoir la réponse, pourtant tout le monde ne dit pas la même chose. Certains répondent que maturité (dans le sens que j’emploi) c’est pour le végétal, d’autre non pas compris que cet article n’était pas une éloge à mon égard en me prétendant mature, d’autre m’ont incité à lever le nez du dictionnaire et vous vous me dites de plonger le nez dans le dictionnaire. Alors que cet article était un article seulement pour trouver une réponse précise à ma question de départ : « Peut-on parler de maturité chez les jeunes ? » J’ai du attendre « Looping » pour avoir une réponse répondant exactement à la question. Une question d’ordre psychologique et non purement académique, car cette question n’aurait plus de sens alors si je souhaite qu’un sens purement académique.
Bonne soirée. Ne prenez pas la peine d’étayer votre commentaire précédent j’ai eu ma réponse !
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