Que Valérie Pécresse ne pouvait rien apporter de bon, c’était évident dès le jour de sa nomination. Lisez :
http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=196
Mais, en juin et juillet, on l’a trop laissé faire lorsqu’elle a présenté son projet de loi sur les universités :
http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=202
http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=84039
http://grenoble.indymedia.org/index.php?page=article&id=5330
http://grenoble.indymedia.org/index.php?page=article&id=5337
http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=213
et ce rappel :
http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=215
"En mai et juin, Sarkozy, Fillon, et les membres du gouvernement, avaient reçu des dirigeants de la « gauche » et des centrales syndicales pour leur exposer leurs projets. Au même moment, les gouvernements « Fillon 1 » et « Fillon 2 » incorporaient un nombre croissant de « personnalités de gauche », pendant que d’autres se voyaient proposer des « missions » ou des postes importants. Le 27 juin, lorsque Sarkozy convoquait sans susciter aucune vague la session extraordinaire du Parlement et le « socialiste » Jack Lang n’hésitait pas à soutenir publiquement le projet de loi de Valérie Pécresse sur les universités, plusieurs tractations politiciennes étaient en cours. La semaine suivante, les médias diffusaient l’annonce du soutien de Nicolas Sarkozy à la candidature de Dominique Strauss-Kahn la présidence du Fonds monétaire international. Quant à Jack Lang, il est devenu vice-président d’un « comité de réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République ». Et la liste pourrait être beaucoup plus longue : Jacques Attali a accepté de présider une « commission sur les freins à la croissance » ; Hubert Védrine a été chargé d’un rapport « sur la mondialisation », etc..."
(fin de citation)
Or, la loi Précresse de juillet était essentielle pour préparer la casse du CNRS contre laquelle les directeurs de laboratoire et "membres d’instances", qui à l’époque avaient laissé Pécresse agir à sa guise, se mobilisent à présent très tardivement.