@ Khnoum
Je ne vois pas où vous trouvez de l’agressivité dans ma réponse. Je pense plutôt que ce sont les faits qui vous sont soumis qui vous agressent compte tenu de vos présupposés.
Votre technique de débat est bien connue : transférer sur l’interlocuteur - pour tenter de le discréditer - une supposée agressivité quand les faits témoignent par eux-mêmes d’une violence que l’on juge insoutenable compte tenu de sa représentation du monde favorable au pouvoir en toute circonstance.
Cela permet d’exonérer à peu de frais les responsables de ces faits ! Ce n’est même plus habile, tant la ficelle est désormais connue ! Elle s’apparente à celle qui consiste à faire porter la responsabilité d’un viol à la victime : qu’a-t-elle donc fait pour avoir été violée ? Ne s’était-elle pas montrée provocante ?
Une information complémentaire qui vous ravira : sachez que le tribunal administratif, saisi d’une demande en annulation de refus de protection statutaire dans l’affaire de la lettre secrète de dénigrement, jugée par le professeur comme une attaque à l’occasion de ses fonctions, a rejeté son recours et trouvé cette lettre exempte de toute attaque qui justifiât une protection statutaire ! Paul Villach