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Commentaire de Philou017

sur Un scandale encore plus grand que celui du sang contaminé


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Philou017 Philou017 17 mars 2008 23:39

La presse médicale ne publie que les études qui l’arrangent. Le fait que vous les repreniez sans parler des autres pour faire votre propagande est irresponsable. Témoignage du Dr Marc Girard :

"

La difficulté notoire rencontrée par Hernan et coll à publier leur résultats en dépit de leur immense notoriété dit assez les contraintes qui pèsent aujourd’hui sur la diffusion des informations médicales :

en France, la Presse médicale a récemment refusé l’un de mes articles entre autres motifs parce que j’y rappelais que l’on dénombrait dans ce pays des scléroses en plaques post-vaccinales dès l’âge de 25 mois (il suffit de se reporter aux communiqués de l’AFSSAPS pour le confirmer) ; dûment informée de mes analyses par des collègues inquiets, la revue Prescrire se tient coi...

à l’étranger, une revue aussi prestigieuse que The Lancet a refusé de publier une de mes correspondances sur les conflits d’intérêt qui ont pesés sur la « conférence de consensus » de Paris, au motif textuel que « plus de 10 études publiées ont réfuté le lien entre vaccin et sclérose en plaques », argument d’autant plus circulaire que ce même Lancet avait refusé l’étude de Hernan et coll tout en n’ayant pas craint de publier celle de Sadovnick et Sheifele (2000) méthodologiquement irrecevable, mais favorable au vaccin..."

http://www.rolandsimion.org/spip.php?article1

http://www.rolandsimion.org/spip.php?article6

Des patients font des proces :

 Dix ans après l’ouverture d’une information judiciaire, les premières mises en examen dans l’affaire du vaccin de l’hépatite B sont tombées jeudi soir. Deux responsables de laboratoires sont accusés de "tromperie aggravée". Sanofi est soupçonné d’"homicide involontaire". Une première victoire pour la trentaine de plaignants qui souffrent d’effets secondaires.

www.lejdd.fr/cmc/societe/20085/hepatite-b-le-vaccin-en-proces_91149.html

"La recommandation d’une vaccination à grande échelle allait très au delà des populations à risque (toxicomanes, professionnels de santé...) notamment en ce qui concerne la vaccination scolaire généralisée", a souligné Me Fau, avocat des parties civiles.
1.300 d’entre eux ont subi des effets secondaires neurologiques, dont un millier de scléroses en plaques.

Depuis, le lien de causalité a été pris en compte en 2007 par le Conseil d’Etat dans le cas d’une infirmière de Sarreguemines (Moselle), atteinte d’une sclérose en plaques, à la suite d’une vaccination obligatoire contre l’hépatite B

droit-medecine.over-blog.com/article-16224675.html

Dans un historique des faits, et parmi de nombreux autres témoignages :

Le docteur Philippe Jacubowicz, médecin généraliste dans une maison de retraite, souffre d’une vascularite lupique postvaccinale, une maladie des articulations qui peut conduire dans certains cas à l’amputation des doigts. Praticien confirmé, il a essayé de trouver des réponses scientifiques.

« Comme tous mes confrères, j’ai été vacciné par obligation. Complètement sous-informé sur les effets indésirables, je n’ai même pas fait le rapprochement entre le vaccin et ma maladie. Par la suite, en consultant des revues médicales étrangères, j’ai pu établir un lien. De nombreuses publications évoquaient un lien de causalité entre le vaccin et de multiples maladies. Le champ est vaste, des pathologies oculaires et rhumatismales, des manifestations neurologiques, elles ont toutes en commun de faire partie de la classe des maladies auto-immunes. Ce sont des déséquilibres du système immunitaire qui s’emballe et s’attaque à son propre corps. »

www.revahb.org/doc/prive/scan3.html a lire en entier

« La suspicion de sclérose en plaques pour le vaccin contre l’hépatite B n’a aucun fondement scientifique. »
Professeur Daniel Floret lors des Journées de vaccinologie, 1999.

« Quand j’entends dire qu’il n’y a aucun risque avec ce vaccin, c’est grotesque. »Professeur Bernard Bégaud, vice-président de la commission nationale de pharmacovigilance, Libération, 10 mars 2000.

Depuis 1986, au moins 136 notifications médicales de maladies apparues après cette vaccination contre l’hépatite B ont été publiées dans les revues spécialisées nationales et internationales ( voir sur le site). Une publication est effectuée par un ou plusieurs médecins, généralement des spécialistes de bon niveau, et elle décortique le cas d’un ou plusieurs malades après l’injection. Ces articles ont une longueur d’une demi-page à une dizaine, selon le nombre de sujets étudiés, et sont assortis d’une discussion sur les mécanismes possibles de responsabilité du vaccin. Chaque article est relu par un comité d’experts, ce qui permet de filtrer les discours fantaisistes ou trop biaisés. Malheureusement, ces articles sont peu répercutés par la presse médicale commerciale. Rares sont donc les médecins généralistes qui peuvent les consulter dans leur intégralité.

Si, dans ces publications, la majorité des médecins signataires ne remet pas en cause le bien-fondé de la vaccination, ils se posent en revanche de sérieuses questions sur son innocuité. Ils décrivent toujours les mêmes maladies : des affections autoimmunes, le système immunitaire censé protéger contre les agressions externes qui s’emballe et se retourne contre le corps. Or, c’est le champ d’action restreint dans lequel agit le vaccin, qui n’est autre qu’un agent de stimulation de l’immunité. Ces maladies constituent un véritable fourre-tout, allant de l’atteinte des nerfs aux rhumatismes, en passant par la peau, les yeux ou les oreilles.

........

« En 1996, j’ai publié dans le New Zealand Medical journal une étude qui montrait une augmentation de 60 % des diabètes chez les enfants après la campagne de vaccination massive entre 1988 et 1991. Le diabète est une maladie autoimmune qui peut avoir plusieurs causes et qui est bien connue des spécialistes de la sécurité des vaccins. À l’époque, je voulais seulement lancer un signal d’alerte et que les pouvoirs publics lancent des études sur ce sujet.

 » Un rapport officiel est paru deux ans plus tard pour mettre en pièce mes travaux. Selon ce texte, aucun autre médecin n’avait trouvé les mêmes tendances. Mais mes véritables ennuis ont commencé après mon passage à la télévision dans une émission d’ABC. J’ai été convoqué par le docteur Neal Hal sey, l’une des plus grosses huiles du milieu de la vaccination, professeur au john Hopkins Hospital, responsable de l’association des pédiatres américains, membre du Comité national des vaccinations. En guise d’entretien, c’était un procès en bonne et due forme. Je me suis retrouvé seul face à une assemblée de médecins, du NIH, du CDC, de la FDA, qui m’ont attaqué violemment, me reprochant d’avoir voulu affoler la population sans fondements. Selon eux, je risquais de détruire la campagne de vaccination alors que mes travaux avaient été réfutés. Exprimer des inquiétudes dans un média grand public sur un vaccin était inqualifiable. Depuis, j’ai été marginalisé comme opposant aux vaccins, un comble alors que mes recherches n’ont comme seul but que de renforcer leur sécurité ! Or, il existe un véritable problème avec ce vaccin et le public est en droit d’exiger une plus grande transparence, mais il est clair que cette affaire met en jeu des intérêts énormes. Si on ne trouve rien, c’est surtout parce qu’on ne veut rien trouver. »

Par la suite, j’apprendrai que le docteur Halsey, l’accusateur principal de Classen, entretient des liens financiers avec les fabricants de vaccins.

Issu d’un long article sur les problemes que rencontrent ceux qui soulevent des problemes sur ce vaccin.

www.revahb.org/doc/prive/scan4.html

La presse médicale ne publie que ce qui l’arrange. S’appuyer dessus pour donner un avis valable est un hérésie.

 


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