C’est vous le cas à désespérer. Pensez-vous que les revues médicales entoerement sponsorisées par les industries pharmaceutiques soient une bible ?
Sur les Etats-unis :
Le 14 juin 1999, le Dr Jane Orient, présidente de l’Association de médecins et des chirurgiens américains (AAPS), a témoigné devant le Comité de réforme du gouvernement et a évoqué les 4 600 dossiers impliquant, outre la sclérose en plaques, bien d’autres maladies centrales du système nerveux, dont le syndrome de Guillain-Barré, le lupus érythémateux et aussi l’augmentation inquiétante de l’asthme et du diabète insulinodépendant, que l’on occulte totalement en France. Elle a conclu : “Pour la plupart des enfants, le risque d’une réaction grave au vaccin peut être 100 fois plus grand que le risque d’hépatite B.”
A ses yeux, la politique vaccinale “est basée sur des conflits d’intérêt, une méthodologie scientifique éloignée de la critique indépendante, et les réactions sérieuses défavorables restent ignorées. Elle représente une violation du Code de Nuremberg car elle force des individus à avoir un traitement médical contre leur volonté, ou à participer à l’équivalent d’une expérience à grande échelle sans un consentement éclairé.”
La FDA a confié 30 000 dossiers médicaux de personnes ayant présenté des effets indésirables au Pr Bonnie Dunbar, professeur de biologie cellulaire et moléculaire à l’université de médecine Baylor à Houston. En collaboration avec des collègues d’autres universités et institutions médicales, le Pr Dunbar a éliminé les cas douteux, puis a étudié les cas des familles dont plusieurs membres ont très mal réagi à la suite de cette vaccination. Pour ces chercheurs, d’après certains groupes HLA, le système immunitaire du malade s’emballe, devient aveugle et, reproduisant les maladies auto-immunes que l’on observe au cours des infections virales naturelles, détruit certaines parties du système neurologique. Afin d’étudier le rôle que peuvent jouer les facteurs génétiques dans les réactions au vaccin, Bonnie Dunbar a introduit plusieurs demandes auprès du gouvernement américain qui les lui a refusées. Elle pense qu’il existe, aux Etats-Unis, au minimum 200 000 cas d’effets indésirables.
Dans ce pays, un certain pourcentage est prélevé sur le prix du vaccin pour dédommager les accidents vaccinaux. Etant donné qu’entre 1990 et 2000, 1 048 milliards de dollars ont été payés, et que la somme maximale octroyée pour un décès ne peut excéder 250 000 dollars, ce chiffre dément à lui seul toutes les assertions officielles affirmant que rien ne prouve la nocivité des vaccins. S’ils sont tellement inoffensifs, pourquoi tant d’argent attribué aux victimes ?
D’autant qu’aux Etats-Unis, comme en France, le parcours des malades pour obtenir que la Justice puisse faire son travail est aussi hasardeux qu’onéreux et, alors que l’administration de Clinton avait déjà durci la procédure d’obtention de cette compensation, celle de Bush a supprimé tout espoir pour les familles des victimes.
Au Canada, le VAAE (Vaccine Associated Adverse Events) reçoit 4 000 à 5 000 rapports spontanés par an, alors que les médecins canadiens ne sont pas obligés par la loi de rapporter les effets secondaires des vaccins (excepté dans l’Ontario). Là encore, en raison de la très certaine sous-notification, combien existe-t-il de cas en réalité ?
Ce résumé de la situation en Amérique du Nord prouve bien que les problèmes vaccinaux ne sont pas réservés à la France, comme les autorités cherchent à nous le faire croire.
http://www.votre-sante.com/news.php?dateedit=1202322880&page=0
Pour l’allemagne et la Belgique, la vaccinantion n’est pas obligatoire. Elle n’est pas conseillée en Allemagne (je ne sais pas pour la Belgique).