Sur la vaccination contre la variole :
Un bon historique des choses :
« Les campagnes d’éradication reposant entière- ment ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. »
http://www.ctanet.fr/vaccination-information/bull013b.htm
Beaucoup de données ont été tronquées ou omises.
« En Inde, cinq ans après une campagne nationale d’éradication entreprise en 1962 (55 595 cas ), le nombre de notifications était plus grand (84 902 cas) qu’il ne l’avait jamais été depuis 1958. Il eut été extrêmement coûteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d’atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. » [p.32 du rapport final de la CCEV]
Le succès comme en Inde et à Java :La campagne menée en Inde révéla les limites d’une stratégie axée uniquement sur la vaccination de masse dans un pays aussi vaste et densément peuplée que l’Inde, même lorsque la couverture de vaccination atteignait 90%, objectif pourtant difficile à atteindre. En revanche, lorsque des programmes de surveillance active et d’endiguement efficace entrèrent pleinement en action, l’Inde fut en mesure de réaliser l’éradication dans un délai relativement bref." [p.47 du programme de la CCEV]
En Inde, le dernier cas fut observé en mai 1975
« A Java, en dépit de toutes les mesures prises, la variole s’avérait extraordinairement difficile à éradiquer, malgré des taux de vaccination dépassant 90%. Jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage et de surveillance soient entièrement mises en place. » [p. 42 du rapport final de la CCEV]
Les personnes reconnues comme contacts possibles d’un malade contagieux étaient non seulement isolées mais aussi vaccinées. On admettait et on admet toujours qu’une vaccination pratiquée moins de 4 jours après un contage serait efficace et certains voudraient attribuer le succès sur la variole à cette vaccination. Chacun peut reconnaître que l’efficacité de cette vaccination dans de telles conditions n’a à priori rien d’évident. De plus il n’en existe aucune preuve rigoureuse, l’expérimentation étant impossible en raison de l’absence de modèle animal pour la variole. Bien au contraire, de nombreux exemples et des éléments statistiques seraient plutôt en faveur de l’hypothèse inverse, à savoir : la superposition à quelques jours près de la contamination sauvage et de la vaccination serait un facteur aggravant voire déclenchant de la maladie même chez des personnes précédemment immunisées et qui auraient pu éviter la maladie sans cette vaccination supplémentaire [3]. Le rapport de l’OMS cite le cas qui s’était produit au Royaume-Uni en 1949 dans un laboratoire : « il était imputable à une auto-inoculation du virus variolique par un agent de laboratoire récemment engagé qui avait manipulé des instruments infectés le jour même où il avait été vacciné. » [p.55 du rapport final de la CCEV].
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En cette occasion le journal Le Monde du 21/12/1977 publiera un article de F.J. TOMICHE, chef des services de presse et de publications de l’OMS :
« Sur le plan stratégique, l’abandon de la vaccination de masse en faveur de l’approche dite « de surveillance-endiguement » revêtit une importance capitale. Avec ce type d’approche on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation faibles. La méthode consiste en la prompte détection de nouveaux cas, suivie de mesures d’endiguement immédiates, c’est-à-dire la recherche de tous les contacts possibles et leur isolement afin d’arrêter la transmission. »
Après cette date on va assister à la subtile occultation... de la méthode de surveillance-endiguement ! Tout ce qui n’était pas de la vaccination dans ce qui avait permis la victoire sur la maladie sera omis au profit de la vaccination massive et généralisée des populations. Les preuves de cette évolution ne manquent pas et chacun a pu en être le témoin voire le zélateur involontaire pour clamer haut et fort en toute occasion et sur tous les tons et encore aujourd’hui dans tous les médias, que
www.infovaccin.fr/l-eradication-de-la-variole.html
Certaines autorités médicales ont voulu présenter l’éradication de la ariole comme un succes du vaccin. L’analyse des faits prouve qu’il n’en est rien.
Dans les pays développés, la vaccination est inutile et dangereuse, alors que dans les pays en voie de développement, elle devient criminelle. Je citerai un simple exemple. Depuis toujours, les pays africains et asiatiques ont été touchés par la peste et la variole. On sait que des épidémies extraordinaires de peste se produisirent en Chine, en Afrique et aussi en Europe aux 6e et7e siècle, puis au 14e et 17e , tuant alors le ¼ des habitants. Une 3e pandémie prit naissance en Chine en 1894. Le principal foyer endémique de la peste fut et demeure la Chine. On sait que cette maladie est provoquée par les puces et les rats qui, évidemment, prolifèrent dans ce pays où les conditions de vie et d’hygiène étaient et sont demeurées longtemps extrêmement précaires. L’épidémie s’est toujours développée dans des pays présentant les mêmes conditions précaires d’hygiène, comme ce fut le cas à une certaine époque en Afrique, en Amérique du Sud et en Europe, lorsque celles-ci s’étaient considérablement dégradées lors de périodes de misère et de guerre. Il en a été de même pour la variole et le choléra.
On a la preuve manifeste que ces épidémies et pandémies atteignent essentiellement les populations souffrant de misère physiologique et de dénutrition, ou vivant dans un environnement où les règles les plus élémentaires d’hygiène ne sont pas respectées. Autrement dit, nourrissez convenablement ces populations, faites-leur observer des règles strictes d’hygiène et vous éradiquerez ces maladies. Point n’est besoin de vacciner. Ainsi, au lieu de participer financièrement à des capagnes de vaccinations, les pays développés feraient mieux de consacrer l’argent à promouvoir une agriculture et un élevage permettant aux populations de vivre décemment et à assurer une prophylaxie ad hoc par des campagnes de dératisation et d’assainissement des lieux qui constituent des foyers permanents de peste. Dans un premier temps, cela coûterait certainement plus cher que les vaccinations, mais quelles économies quelques dizaines d’années plus tard. De plus, cette action représenterait une véritable oeuvre humanitaire.
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Le 26 octobre 1979, l’Organisation mondiale de la santé, après d’intensives campagnes de vaccination, en particulier en Afrique centrale et au Brésil, déclare que la variole est éradiquée. Pourtant, de 1963 à 1973, dans 12 pays européens, on avait enregistré seulement 391 cas de variole, résultant de 28 importations différentes de cette maladie. ... 20 fois la maladie venait d’Asie et 5 fois, d’Afrique, régions où existent des foyers épidémiques permanents dus aux conditions d’hygiène et de malnutrition. Comment est-il concevable que devant un chiffre si bas de varioleux en Europe, on ait continué à vacciner contre la variole durant toute cette période, alors même que ces cas de variole avaient une origine extérieure à l’Europe ? Cette maladie n’a pas été éradiquée grâce à la vaccination ainsi que le prétendent l’Organisation mondiale de la santé et les vaccinalistes, mais à cause de modifications des conditions de vie et d’hygiène dans les pays industrialisés...
page 148, 149Extrait 12 : ... C’est dans les 11 pays d’Afrique où les campagnes de vaccination furent les plus intenses qu’on compte présenrement le plus de sidéens. [! !!]
Dans un ouvrage intitulé « Sida, le vertige », paru en novembre 1993, après avoir passé en revue toutes les hypothèses émises sur l’origine du sida, j’expose ma propre opinion, à savoir que le rétrovirus du sida est le résultat de la recombinaison du virus de la vaccine avec le HIV 2 spécifique des populations d’Afrique centrale. Ma conclusion à propos de la vaccination antivariolique est donc formelle : non seulement a-t-elle provoqué de nombreux accidents et entretenu la variole alors même que les épidémies étaient en phase décroissante, mais elle est à l’origine du sida.
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- Le professeur René Dubos, dans "Man, Medecine and Environment", Praeger, New York, 1968 :
« Le vaccin antivariolique provoque de graves encéphalites chez certains individus même s’il a été administré avec un soin extrême. La possibilité de contracter la variole est maintenant tellement réduite que les risques d’accident provenant du vaccin sont plus élevés que la possibilité de contracter la maladie elle-même. »
- Dans la revue "Vie et Action" de mars-avril 1966 :
« En Grande-Bretagne, la vaccination antivariolique n’est plus obligatoire depuis 1898 et pourtant 5 fois moins de gens sont morts de variole en Grande-Bretagne qu’en France où cette vaccination est obligatoire. Il en est de même en Hollande. »
www3.sympatico.ca/vision_globale/Vaccination.html
30/12 09:27 - Luis
Faîtes attention à votre orthographe nom de nom ! En plus il manque la moitié des accents. (...)
29/12 12:58 - lacsapnitram
Et l’on ne parle pas encore du scandale des maladies dégénératives en pleine explosion (...)
19/09 02:22 - xovaroga
Quel fut le nombre de victime du vaccin anti-hépatite B en France ? Source (...)
18/04 22:53 - MJO
Dans le service ou je travaillais, un tiers du personnel a été contaminé au cours du 1r (...)
05/04 14:59 - valé71
Je ne parle pas ici, façon de dire, mais vous pourrez toujours tous courrir pour ce vaccin (...)
31/03 07:17 - mariner valley
Arf, Arreter de dramaitiser la situation aussi............le vaccin contre la grippe aviaire (...)
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