Le coran donne le droit à la vengeance privée
Article 121-3 — Code pénal — Indifférence des mobiles
Art. 222-13 annotation 11 : « les coups et les blessures volontaires sont par leur nature et quel qu ‘en soit le mobile qui l’ait inspiré, des délits de droit commun ».
En droit français toute atteinte à la personne est un délit.
En droit musulman, cette atteinte est légale et dépénalisée si elle a trait à la vengeance dont la qualification de plus est laissée au libre arbitre de l’agresseur devenant de ce fait juge et parti. Une fois de plus est démontré la totale incompatibilité du droit français avec le droit coranique.
S. 5 v 33-34 : « Ceux qui font la guerre à Dieu et à son messager et cherchent le désordre sur terre, leur salaire sera d’être tué ou crucifié ou d’avoir une main et un pied opposé coupé ou d’être banni du pays. Ce sera la honte en cette vie et ils auront dans l’autre le tourment sans borne, sauf ceux qui se repentent avant de tomber en votre pouvoir car Dieu pardonne, il a pitié, sachez-le ».
Nous voyons dans ce verset, la loi coranique exprimer toute l’horreur de son intolérance haineuse qui recourt à des actes de tortures, de mutilations, de barbarie et d’exclusion pour toute forme de religion autre que la sienne laissée à l’appréciation des musulmans dans un total arbitraire de vengeances privées et d’oppression.
Exemple pratique : Le 2 novembre 2004, Mohammed Bouyeri, néerlandais d’origine marocaine, blesse Van Gogh avec une arme à feu dans un lieu public, puis l’achève en tirant de nouveau. Huit balles auront atteint le réalisateur. Le jeune homme l’égorge, le décapitant presque. Puis, il lui plante deux couteaux dans la poitrine dont l’un porte sur la garde une lettre adressée à Ayaan Hirsi Ali.
Au cours de son procès, il avait déclaré qu’il recommencerait s’il avait « la chance » d’être libéré un jour, expliquant que le Coran indiquait que c’était le devoir de tout bon musulman de combattre les ennemis de l’Islam. (Wikipedia)