Je reprend la prose du Kamarade Capus :
"Pas étonnant quand on sait que la majorité des intervenants sont des fonctionnaires ou des retraités fonctionnaires qui considèrent que l’Education Nationale leur appartient de manière exclusive."
Pffff......... Seriez-vous voyant ?
"Ces fonctionnaires n’ont qu’une ambition : que les choses se perpétuent afin que leurs enfants, petits enfants, petits tout petits enfants puissent atteindre un jour sans problème le graal : être éducateur fonctionnaire. Le reste n’a aucune importance."
Vous lisez dans mes pensées.... Félicitations !
"Alors, il n’y a ici, de tolérés, que les adorateurs de la prose talibanesque de Villach qui extrait un vague rapport annexe et subalterne de l’OCDE pour lancer ses malhonnêtes procès d’intention."
Vous semblez bien connaître l’OCDE et ses officines... Pourriez vous m’indiquer comment il est possible de trouver des documents dont une grande partie ne sont accessible qu’à un public restreint ?
Ainsi quand Voltaire intervient en rappelant simplement la mise en garde figurant sur ce rapport :
« LES IDÉES EXPRIMÉES ET LES ARGUMENTS AVANCÉS DANS CETTE PUBLICATION SONT CEUX DES AUTEURS ET NE REFLÈTENT PAS NÉCESSAIREMENT CEUX DE L’OCDE OU DES GOUVERNEMENTS DE SES PAYS MEMBRES. »
C’est vrai mais.... Vous avez oublié le mot ( adverbe, quelle belle nature, très souvent restrictive) nécessairement apposé à la négation ne ... pas, c’est à dire que l’auteur publie avec l’accord de l’organisme mais que celui-ci ne prend pas le risque éditorial..... Chez moi, on appelle ça "une mention légale".
"cela vaut illico de la part de ces talibans éducateurs fonctionnaires des POINTS EN MOINS et des MISES AU PIQUET."
Mon Dieu, que nous sommes méchants en rappelant à "Voltaire" ( je n’oserasi pas usurper l’identité d’un tel client) qu’il fait très souvent preuve de ce que le vrai, l’unique, appelerait : Un certain amnque de profondeur, car en fait c’est toujours la forme qui importe pour lui, le fond, les faits.... Ca compte pour du beurre comme pour vous...
Allez calmez-vous, on peur continuer sans vous.....