Nous connaissions nous aussi trés bien Valérie, notre fille est passée par sa classe à l’école maternelle dernière année de la Forêt à Eysines (33).Les seules choses que nous lui avons reproché, c’était juste un trop plein d’amour et d’affection qu’elle leurs portait. En effet elle les coocoonait trop pour une dernière année de maternelle, le passage en CP allait être plus dur du coup.
Nous la connaissions trés bien,nous sommes même allé manger chez elle est cyril son mari l’été dernier à Pauillac à l’occasion de l’anniversaire de la fille de Valerie. Déjà, à cette époque, Valérie, nous exposait les soucis naissant qu’elle rencontrait au sein de cette école de Pauillac.Elle comptait sur les vacances pour faire le point, et nous lui disions qu’une fois que les parents d’élèves auraient compris que c’était une super maitresse, les soucis disparaitraient aussitôt.
Au lieu de ça, certaines personnes de l’équipe enseignante, communale, et de parents d’élève ce sont acharnés à son encontre, des propos calomnieux ont été proférés, une intention de la faire partir de cette école a été clairement démontré par leurs agissements.
Dans quel but ces gens là agissent ? Pourquoi Valérie n’a reçus aucun soutien de sa hiérarchie ? Pourquoi, elle n’a jamais eut de problême avant sa mutation à Pauillac ?
Aujourd’hui ma femme, ma fille et moi-même, espérons que toute ces grenouilles de bénitié seront punis à la hauteur de leurs fautes, pour l’acharnement avec le quel elles s’en sont pris à Valérie. Elles ont privé une petite fille de sa maman, des parents de leur enfants, un mari d’une femme et d’un autre enfant.
Dans la région Bordelaise, nous avons une légende qui dit que les Médocains sont des gens froid, sans coeur, des personnes ingrattes, égoîstes et égocentriques. Heureusement que j’ai des amis médocains qui démontrent le contraire. Mais comme nous pouvons le constater, dans les légendes, il y a toujours une part de vérité.
Nous souhaitons beaucoup de courage à tous ces proches, pour les années à venir, et nous serons présents s’il ils en ont besoin.
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