Bravo à la"petite étudiante " en journalisme , ne vous laissez pas impressionner par les castrophiles hystériques qui sévissent sur ce site.
"Ce qu’elle est intelligente la môme à son papa" croit drôle d’écrire Maugis qui ajoute à son stalinisme pathétique la misogynie la plus crasse.
"Les cubains forment le peuple le plus libre du monde", Cuba est le " premier pays défenseur des droits de l’homme dans le monde ". De telles idioties feraient rire s’il n’y avait pas tant de gens qui souffrent de la dictature.
Face aux incohérences du système , ses défenseurs sortent leur unique argument qui consiste à accuser le blocus. Cuba est "un pays en situation de crise perpétuelle". Sauf que cela est faux.
Les soviétiques ont retiré leurs missiles en 1962 à deux conditions acceptées par les USA. Kennedy s’est engagé à ne pas installer de missiles en Turquie et à ne jamais envahir Cuba.
De 1962 à 1991 , les cubains ont bénéficié de 29 années de tranquilité complète pendant lesqelles ils ont vécu sous perfusion économique soviétique ( énergie importée à bas prix , produits cubains exportés à prix fort). Cette économie subventionnée permet à Castro de jouer un rôle international tout en masquant l’inéfficacité du système cubain.
Après la chute de l’URSS , Cuba est apparue pour ce qu’elle est : une économie improductive, sous -développée, experte dans la gestion du manque. En incomber la faute au blocus est un non sens historique car les dirigeants cubains ont bénéficié de presque trois décennies, soutenus par le bloc communiste pour sortir du sous développement.
Cette manière qu’ont les vieux communistes de s’accrocher au mythe cubain est exaspérante et finalement très triste. Pour moi être de gauche , c’est d’abord haïr la dictature et l’absence de démocratie et aucune réthorique ne pourra masquer cette évidence : Cuba est un pays rendu pauvre par une dictature communiste devenue dynastique.