À Leekid,
Bon, on ne va pas s’éterniser sur cette question assez éloignée du sujet de l’article, vous avez vu de l’ironie là où il n’y en a pas du tout.
Je ne vais pas vous donner les adresses des entreprises dont j’ai eu la connaissance intime, il y en a beaucoup trop. Je ne vous dis pas que c’est partout le paradis.
J’ai actionné le lien fourni sur les prud’hommes. Je vu ces gens à l’œuvre de bien plus près que vous ne le pensez. Ils ne se soucient que de leur propre sinécure, passant entre eux les compromis les plus sordides sur le dos de ceux qui les appellent à leur secours. Et je ne vous dis pas cela sans preuve.
Mes activités professionnelles m’ont mis dans le bain jusqu’au cou du monde du travail. Et pas comme grand chef venant passer de temps à autres en revue les gens au travail. C’est même là que j’ai appris à quel point les gens modestes, quand on a vraiment le contact avec eux, diffèrent de ce que vous m’en dites. Mais j’ai aussi vu de très près le spectacle de ceux qui s’acharnaient à détruire au lieu de construire. Les choses auraient-elles changé depuis ? Alors, oui, ce serait le contraire du progrès ! Moi, les difficultés de ma tâche lorsqu’elle était celle de directeur financier, et qu’il y en a eu, ce n’était pas avec les gens modestes, ce n’était pas avec leurs chefs, ce n’était pas avec mes collègues, ce n’était pas avec des capitalistes, c’était avec des salariés propulsées aux postes de direction se faisant plus royalistes que le Roi, et se révélant n’être que des fossoyeurs d’entreprises.
Ravi d’apprendre que vous êtes sorti de votre enfer.