Le texte présenté est manifestement un appel à une action partisane violente émanant d’un obscur auteur masqué et violent à l’égard de ceux qui le contredisent. Il n’est question chez lui que de rapports de force. C’est une litanie d’affirmations non prouvées contraires aux réalités prouvées.
Ses « sorties » n’ont pas la moindre originalité, elles sont connues de tous, et depuis très longtemps. Il n’y a pas le moindre apport aux connaissances des lecteurs, c’est au contraire de la désinformation caractérisée.
Que vient faire sur AV ce tract manifestement partisan d’un agent recruteur essayant d’embrigader des gens en les trompant à ce point. Il les égare même en leur présentant des leurres détournant l’attention du véritable coupable de l’exploitation des travailleurs. A se demander s’il n’est pas soudoyé par ce coupable.
Que font les responsables d’AV, où est leur politique éditoriale. Avec de tels papiers, les lecteurs d’AV gagneraient du temps sans nuire à leur information à s’en détourner pour voir et écouter moins d’une minute les défilés avec portes voix, banderoles et autres attirails.
Aïe ! Monsieur Verhille se démasque : petit délateur lâche, kapo des forces de l’argent, il dénonce, insulte, cherche à dévaloriser : les armes du parfait petit collabo, qui cherche à faire taire toute voix dissonnante !
On imagine parfaitement le monde selon Monsieur Verhille : un monde à la Soleil vert, mâtiné de Brazil, de 1984 : attention, big brother Verhille vous écoute, comme les murs...
Pour monsieur Verhille, une grève générale est (je cite) : "une action partisane violente" ; mais la violence faite aux citoyens par l’ultralibéralisme est, elle, tout à fait légitime. On tremble d’avoir affaire à des individus comme monsieur Verhille si la démocratie en arrivait à baisser sa garde...
Monsieur Verhille n’aime pas les : "défilés avec portes voix, banderoles et autres attirails."
Il leur préfère certainement les salons feutrés où les grands jouent aux dès le sort des citoyens du monde, en toute discrétion.
La voix de monsieur Verhille, on l’enrend depuis la nuit des temps ; c’est celle des cavernes, de la jungle, celle de l’inquisition, des chasses aux sorcières, de la délation, de la collaboration ; c’est la lugubre voix de la censure et de l’’oppression, de sinistre mémoire...,
Non, mon sieur Verhille, je n’avance pas masqué, moi : vous avez accès à mon cv, à mon site, donc même à mon nom ; je vous vois très bien, de nuit de préference, préparer vos lettres anonymes de dénonciation, avec le petit jouissement sec des refoulés, trouvant là leur seule occasion de faire vibrer enfin une existence entièrement dévouée à la lâcheté et à la soumission piteuse...
Très sincèrement, e vous plains, monsieur Verhille.
Soutien aux proches.