Icks,
je suis effectivement outré par les pratiques de ces deux démocrates.
L’un et l’autre ont la même façon de procéder, lorsque l’on a le malheur de s’opposer à leurs vues, que ce soit sur la forme ou sur le fond, l’on est catalogué extrême-droite.
Il se trouve que je commence à trouver anormal de ce qui ne sert, finalement, qu’à refuser le débat.
Ma référence initiale à Morice n’est sûrement pas anodine et ce n’est pas la première fois que je le dis à E-DemoKrate. Je ne vois pourtant pas ce qui justifie là que je sois traité de NAZI.
Qu’il me traite de connard ou de ce qu’il veut ne me dérange pas et pour tout dire, j’en ai autant à son égard.
NAZI est un terme qui me choque, me blesse et, au-delà, qui justifie que je me batte pour obtenir des excuses.
Pardon pour la façon de procéder mais je trouve profondément anti-démocratique de ficher ainsi un contradicteur pour clore le débat et agiter le doigt "hou-hou, le nazi".
De telles pratiques n’ont pas leur place dans un débat citoyen, et surtout pas lorsque ces deux auteurs se font les chantres de la liberté d’expression !
Sans attendre de ta part un satisfecit, j’espérais quand même autre chose...Mais bon, c’est moi qui devrais accepter d’être traité de NAZI, de facho puisque, visiblement, c’est ma nature profonde...
Merci à tous pour cette grande leçon de démocratie.