Sicolas Narkozy
Sicolas Narkozy au congrès du
PS
Géant barbu faisant 16,2m (qui se rase aussi parfois), vivant normalement dans les forêts Groishonses, Sicolas Narkozy est un ornythorinque politique Çanfrais. Sicolas Narkozy est un brillant visionnaire de gauche prônant la prévention, la paix soxiale, la montagne à la mer, la mer à la montage, la journée de deux heures, et tant de machins trucs encore.
C’est un pacifiste qui n’a jamais pu comprendre la répression systématique (notamment de sa mère, à table, lorsqu’il ne voulait pas manger sa soupe). Il ne manque jamais de dénoncer les propos populistes souvent utilisés par ses adversaires politiques et travaille dans des associations qui s’occupent de l’aide aux jeunes issus de milieux défavorisés.
Il ne sera probablement jamais président de la république car il est (outre sa fonction de militant de base au PS) délégué syndical au sein de la société CherKärt (qui fabrique, comme son nom l’indique des Karts néerlandais très onéreux) défendant les salaires des employés, les conditions de travail, et y organisant régulièrement des grèves (malgré la loi de service minimum dans les transports en cas de grève initiée par Régolène Soyal, ce qui lui a valu, d’ailleurs, en sus de plusieurs séjours en prison d’être surnommé "la Racaille" par ses opposants politiques).
Sicolas Narkozy, arrêté suite à la grève de l’usine CherKärt à Neuilly
En 2006, il crache à la figure du journaliste de Canal putes qui lui demande s’il ne brigue pas un poste plus prestigieux que celui de militant actif de base et délégué syndical. Il lui avait d’ailleurs répondu, avant de lui cracher dessus : "Ni Dieu ni maître". Sa femme Ciliacé Narkozy est son meilleur soutien ; elle lui a toujours été fidèle en amour et en politique ; par contre, elle est très moche (ceci expliquant cela).
Candidat à l’élection présidentielle de 2007, il se démarque par son total refus de la manipulation des médias, pratiquée par tous les candidats, ce qui lui vaudra de réaliser le plus mauvais score de l’élection ( 1,3% ) et de pouvoir affronter au deuxième tour Régolène Soyal, forte de déjà 52% des voix. Il ne réalisera finalement que 35% au second tour, largement battu par Régolène. Il se retire alors de la vie politique.