Interessant et touffu, et ce d’autant qu’une reflexion de ce type est un joli exercice de style pour un étudiant aussi "jeune ".
Je crois qu’il n’est pas nécessaire de rendre les choses complexes encore plus complexes :
Les scientifiques environnementalistes sont nombreux et font passer leurs informations par les médias Anglo-saxons préférenciellement,et que ce soit en génomique,en études de biodiversité, en climatologie,les informations arrivent avec retard certes mais parviennent.
Le problème n’est pas que l’information parvienne, c’est qu’elle parvienne en totalité, non morcellée, non instrumentalisée, et avec la neutralité journalistique qui s’impose en matière scientifique et particulièrement sur des sujets sensibles.
Les médias que vous citez ne sont pas les plus rigoureux, et certainement pas les plus pointus - "C’est pas sorcier" est quand même un comble de simplification de niveau CM2, certes pédagogique, mais précisemment, cela pose le problème crucial de la formation en biologie, sciences et écologie de la population française moyenne - :
Allez voir des médias environnementaux - puisque votre article traite du sujet de l’écologie - :www.notre-planete.info
www.actu-environnement.com/idx_ae.php4
www.journaldelenvironnement.net/fr/index/index.asp
www.novethic.fr/novethic/site/index.jsp
C’est de l’information en temps et en heure et non de la "vulgarisation", des médias internet destinés pour certains aux Universitaires ou aux professionnels.
Les médias scientifiques "Pour la Science", "La recherche" "Science et vie", ne sont pas des médias environnementalistes, mais généralistes dans le domaines des découvertes tant en physique, qu’en biologie, qu’en anthropologie...
Il existe par contre des parutions en écologie et dans le domaine du "Développement durable",dans la presse notamment.
Et puis beaucoup de biologistes écrivent des livres tel Gilles Eic Serallini , chercheur en biologie moléculaire à l’Inserm :recherche.fnac.com/ia121394/Gilles-Eric-Seralini