Et sur la coopération vu par un libéral, voici :
La société est l’ensemble des services que les hommes se rendent forcément ou volontairement les uns aux autres ; c’est-à-dire des services publics et des services privés. Les premiers, imposés et réglementés par la loi – qu’il n’est pas toujours aisé de changer quand il le faudrait – peuvent survivre longtemps, avec elle, à leur propre utilité, et conserver encore le nom de « services publics », même quand ils ne sont plus des services du tout, même quand ils ne sont plus que de publiques vexations. Les seconds sont du domaine de la volonté, de la responsabilité individuelle. Chacun en rend et en reçoit ce qu’il veut, ce qu’il peut, après débat contradictoire. Ils ont toujours pour eux la présomption d’utilité réelle, exactement mesurée par leur valeur comparative. Bastiat
Ce qui est un plaidoyer vigoureux pour une coopération libre et intelligente.
Vous pourrez me convaincre avec des arguments (laissez tomber les attaques personnelles, elles ne font que m’amuser), mais il va falloir me sortir du solide. J’ai plus de vingt années de gauchisme, de socialisme, ex -adhérent à ATTAC, syndiqué CGT pendant presque 10 ans, j’ai entendu et réentendu tous ces mensonges, je les ai propagé aussi, de bonne foi, comme je pense que vous le faîtes. Le libéralisme ne s’apprend pas dans un cours de terminale ES avec un prof marxiste, mais en lisant les textes eux-mêmes.