Il semble que nous nous comprenions mal en effet ; je pointais bien l’injustice des mesures fiscales de la droite, qui grignotent sans cesse la progressivité (successions, IR, ISF, bouclier fiscal), et qui en faisant croire de servir tout le monde, servent les mêmes intérêts : loi TEPA, dont plus de la moitié du montant, dont les intérêts d’emprunt, a profité d’abord aux plus aisés et au patronat, et vélléités récurrentes sur les niches fiscales, puisque le gouvernement finit toujours par se coucher devant le lobbying aussi influent que peu nombreux des riches (ça fait 5 ans qu’on entend parler de s’attaquer aux niches fiscales).
Les listes à la Prévert se voulaient lourdes, désordonnées et exhaustives pour coller au flot des promesses depuis un an. Si vous trouvez l’ensemble confus, alors l’objectif est atteint, puisque il représente la logorrhée incohérente des prétendues réformes.
Cependant, il y a deux listes de promesses à la Prévert : les premières ont été tenues, pas les deuxièmes, je ne vais pas refaire l’article.