Pour conclure, un petit rappel à messieurs JL et Patrosso, concernant la notion de diffamation, dont j’estime avoir été victime dans leurs commentaires lorsqu’ils évoquent, notamment, mon activité professionnelle. Qu’ils lisent et qu’ils méditent ce petit document, plus particulièrement encore, M. Patrosso, apôtre du journalisme citoyen ! Il y a des limites à ne point franchir, j’estime qu’elles l’ont été plusieurs fois et pour rappel :
Je cite M. Patrosso :
"Il est alarmant de constater que des gens qui travaillent dans notre système judiciaire produisent des textes aussi médiocres. Comment donc croire que la justice existe dans notre Pays alors qu’elle est aux mains d’incompétents comme Monsieur Lefebvre ?" In, premier commentaire de M. Patrosso.
"De plus, s’il n’y a que des gens comme vous pour entretenir le système judiciaire, il est logique qu’il ne puisse tourner rond"
"Et vous mettez notre système judiciaire en jeu avec vos bêtises publiques"
Je cite JL :
Avec Richard Patrosso je pose la question : ""Comment donc croire que la justice existe dans notre Pays alors qu’elle est aux mains d’incompétents comme Monsieur Lefebvre ?""
"Ce monsieur lefebvre n’est pas incompétent, il est dangereux."
Oui, je vous le redit : "la bêtise insiste toujours", et si vous n’aimez pas les citations, en voici encore une : " Le con ne perd jamais son temps, il perd celui des autres. " Premier commentaire de JL, qui m’insulte par le biais de citations.
Et, je passe les insultes désobligeantes en guise d’argumentaire, vous comprendrez ainsi la virulence, mais aussi la drôlerie, de certaines de mes réponses.
Chacun pourra mesurer, à l’éclairage du lien ci-dessus et ci-dessous, combien la diffamation est avérée, sans toutefois préjuger d’une décision judiciare.
http://www.sciences-po.org/projets_collectifs/esper/Diffamation.htm
Enfin, copie de cette réponse est destinée aux décideurs d’AV.