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Commentaire de DACH

sur L'homme qui mentait à perpète


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DACH 17 mai 2008 11:01

 

Sean Penn qui va me contredire. Voyons donc à qui il ressemble... »
Pour faire simple et court : l’auteur confond les cartes proposées par d’autres et le territoire qu’elles sont sensées décrire. L’adjectif « effrayante » suggère-t-il que nous serions face à un monstre ? Quid des 53% de votants pour un tel monstre ? Ce qui est excessif devient dérisoire... Or l’auteur oublie par exemple qu’il y a chez notre président une vision et la volonté de mener notre pays quelque part... Le vrai débat serait de savoir ce qui serait bon pour les Français et la France et ce qui ne le serait pas. Quel modèle de société veut-il, de quel modèle voulons-nous ?

Quant aux ressemblances évoquées, elles donnent l’impression que l’auteur souffre de ne pouvoir prétendre influer sur le cours des choses et qu’il est lui-même à la recherche d’un modèle qui lui donnerait enfin une reconnaissance dans son rôle déclaré sur son CV d’opposant éclairé ! Or à prendre des vessies pour des lanternes, comme il le fait parfois, l’auteur se condamne à n’être qu’un histrion en bobards éculés. Mais il a ma sympathie amusée puisqu’il rentre dans le registre qui prétend révéler et instruire alors qu’il ne fait que distraire. L’auteur se place donc dans le rôle ingrat d’écrire du dérisoire parfois rigolo, quand affleurent des contre vérités, y compris dans ses colères simiesques envers ses détracteurs, mais qui ne laisse que la trace du sillage d’une barque sur le lac. Je laisse à chacun l’opportunité et le plaisir de trouver en quoi l’auteur nous raconte sur notre président des histoires de cinéma... Namasté. Dach

 

 

Je suis obligé de renvoyer ce texte une troisième fois car il a été coupé lors de l’envoi, par un KGB informatique ?

Bonjour à l’auteur Morice. Votre dernier texte « l’homme qui mentait à perpète » est une fois de plus amusant. Faire passer votre simple opinion en détestation pour une analyse objective ressemble à faire croire par exemple que le Coran a été écrit de la main de Dieu ! Votre texte se cantonne dans le billet d’humeur qui amuse et que l’on oublie aussi vite que vous l’avez écrit. Votre affirmation du titre ressemble à l’affirmation de Madame Michu « le temps est détraqué, il pleut tous les jours ». Est-on plus avancé par une telle affirmation de surcroît non démontrée ?

Ce qui est amusant dans cette recherche d’identifications inachevées est qu’en définitive l’auteur ne donne pas de réponse, comme s’il était enivré par son sujet au point d’en avoir perdu le chemin où il voulait nous emmener ! Son texte, de par sa volonté d’abaisser, ridiculise en premier lieu l’auteur, mais ce n’est pas nouveau. Il n’échappe pas à l’effet de miroir. Il a ma sympathie pour ce rôle ingrat de n’apporter que du dérisoire au débat qu’il prétend politique. Il mérite le prix de l’assiduité, car il a plus de 12 mois de retard sur les tentatives de JF Kahn de décrédibiliser le futur président. Mais son délire est bien divertissant et rendra notre président plus sympa à de nombreux détracteurs. Pourtant il y a matière à débats sur toutes les mesures de sa politique comme sur les expressions de sa personnalité ! Mais les apparences sont parfois là pour induire en erreur, et l’auteur y plonge avec délectation.

Le texte de l’auteur ressemble aussi à ce personnage d’une petite histoire sur la véhémence habitée par l’obsessionnel : « un musulman assis sur un banc vocifère à l’infini « Allah Akbar, Allah Akbar » en brandissant le Coran comme une épée ! Un autre musulman passe, l’entend, s’approche et lui dit : pourquoi vocifères-tu ainsi ? Tu crois que Allah est sourd ? Est-ce Lui qui t’a demandé de brandir le livre saint Coran comme une épée ? Non , ce n’est pas Allah, c’est Parkinson ! » Il semble que ses textes dont celui-ci soient écrits sous une influence qu’il ne contrôle pas vraiment ! Que l’auteur continue de croire qu’il va changer l’opinion des lecteurs c’est toute la peine que je lui souhaite d’assumer, mais il y a longtemps que nombre de lecteurs ont quitté la maternelle.

Ce texte ressemble donc à une agitation frénétique qui, ayant perdu sa boussole, n’aurait toujours pas retrouvé son chemin. De surcroît ses opinions exprimées ressemblent plus à un bavardage de billet d’humeur qu’à une démonstration. Il ne change rien tout en ignorant l’essentiel : la vision politique, les problèmes, les méthodes, les moyens, les objectifs, les réussites, les échecs. Quelle est donc la vraie vision de l’auteur ?

Y affleure aussi cette frustration d’impuissance d’avoir vu élu quelqu’un que l’auteur déteste, ( c’est son droit), faute d’avoir su trouver les arguments pour l’empêcher de l’être. Cela en fera jubiler certains. Il tombe dans le piège suivant : ce qu’il trouve d’écrit à peu près n’importe où sert à justifier son opinion ou embryon d’analyse, pour une seule raison : parce que ce qu’il trouve lui convient. Mais cherche-t-il à savoir si ce qu’il lit ou cite est vrai, fondé, vérifiable ? Un exemple récent sur le bombardement israélien de bâtiments en Syrie : si l’auteur avait cherché chez les spécialistes de ces sujets, il aurait trouvé d’autres informations plus solides que ce qu’il affirme, mais elles avaient le tort de contredire ce qu’il veut croire et cherche à faire croire. Cela n’est pas du journalisme, mais de la pub frelatée.

Sur notre président, l’auteur a écrit :

« Elle est disons en même temps très révélatrice, et en même temps très effrayante. L’homme n’est pas forcément celui qu’on voit. A l’occasion du Festival de Cannes, qui débute tout juste, la lumière est venue. Notre homme qui se prend pour un président est un acteur de cinéma, et non un président véritable. C’est aujourd’hui une évidence, et ce n’est pas


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