Bon article à condition d’en repérer le véritable enjeu, comme l’on rappelé opportunément Yannick et Foufouille. On nous prépare, les caresses et les sentiments, et après...
La solidarité est une idée noble que les nobles n’ont jamais aimé.
Sauf la nuit du 4 aout 1789, emportés par une sorte d’extase historique, ils ont renoncés à leurs privilèges.
On en est loin aujourd’hui. Car ce n’est pas d’appauvrir le riche dont il est question, mais bien de permettre la poursuite de son enrichissment, à marche forcée (tant que çà passe ?) en faisant passer les "réformes" pour d’indispensables corrections d’anomalies, de fin d’une "hypocrisie", etc.
Concrètement, un patrimoine de 770 000 €, s’il est divisible permet de payer facilement l’ISF de base peu élevé. S’il n’est pas divisible (rare) il a une valeur locative, une valeur de garantie d’emprunt, bref, il offre des solutions qui manqueront toujours à des millions de salariés laborieux sans perspective.
Et puis, vendu à 770 000 €, il crée un capital qui placé sans risque à 5% rapporte un revenu de 37 000€ annuels, de quoi vivre aisément... sans se lever tôt et se cogner des trajets pénibles et onéreux !
Mais quand on entend les riches, on se dit : les pauvres !