Bien, moi, je suis à l’aise pour en parler puisque j’ai porté mon chèque Vendredi 23 Mai après midi au trésor public (date limite 15 Juin). Je ne sais pas si c’est votre cas quand on voit votre mauvaise foi dans cette article.

Je comprends votre mauvaise foi, comme pour les 35 heures, il en faut bien en avoir pour justifier un impôt qui n’existe nulle part ailleurs.

Ceux qui partent sont ceux qui ont fait une plus value sur la vente de leurs affaires. Ces plus values sont taxées à 26% en moyenne. On ne peut pas échapper à cet impôt dès lors que la vente a été réalisée en France.

Donc, ceux qui partent sont ceux qui refusent de payer en plus et annuellement ce qui reste du produit de ces cessions. Produit qui bien souvent sert de retraites pour les professions libérales et indépendantes qui ont travaillé toute leur vie pour se constituer une rente en lieu et place d’une retraite ridiculement évaluée.

Tout cela vous ne pouvez pas le savoir puisque vous ne payez pas l’ISF, n’est ce pas. ? Vous ne l’avez pas dit ?

En lisant les chiffres du Figaro et en particulier le chiffres des 200 qui sont revenus en 2006, ça m’a fait rigoler, je ne sais pas si je suis inclus dans ces 200, mais c’est en 2006 que j’ai décidé de me fiscaliser en France après 40 ans de vie professionnelle à l’étranger et que j’ai payé l’ISF après 1 mois de résidence fiscale :Rapatriement fiscal Novembre 2006, rapatriement physique Avril 2007, premier ISF, Mai 2007, deuxième ISF ; Mai 2008, etc.....

Je suis donc taxé sur des valeurs mobilières constituées et gagnés à l’étranger et ayant déjà été soumises à des impôt à l’étranger.

L’ISF est un impôt inique et stupide : En France, on est taxé une première fois sur ses revenus comme tout le monde (enfin 50% des foyers seulement, vous ne nous avez pas dit si vous payez l’IR ?) puis une deuxième fois tous les ans à vie par le biais de l’ISF et tant qu’on est au dessus de la barre, jusqu’à ce qu’on devienne "pauvre" en quelque sorte.

Autant il m’a été facile de rapatrier en France mes fonds dans une démarché délibérée et volontaire, autant il me sera possible de les mettre à l’abri à l’étranger quand il me plaira. OK ? Cela m’est d’autant possible que je ne vis pas en France toute l’année.

Quand il n’y aura plus de riches en France, je vous souhaite bien du plaisir.

Quand on est ignorant de ces choses comme vous, on s’abstient d’écrire des conneries.

Enrichissez vous à la place.