Je ne souffre pas de certitudisme, bien au contraire et quant à savoir si 80 % des suicides découlent d’une dépression, je ne serais jamais aussi péremptoire mais je pense que le suicide comme choix personnel à une inconsistance ou une absurdité patente de "vivre pour vivre " est un choix personnel indéniable.
Et que ce choix n’est pas assez audible :
Contrairement à une vision angélique et naîve voire proche du libéralisme on ne choisit pas sa vie, on fait avec ...sa famille, son patrimoine génétique - et les porteurs de maladies rares ne vous diront pas autre chose- , son éducation de base qui implique énormément , son image du couple très souvent liée à celle qu’on a du couple de ses parents - eh oui, tout le monde n’est pas "résilient" -, ses parents towxiques ou ouverts, son physique qui dans une société de l’image engage beaucoup, la vision de la vie qui vous a imprégné petit.... Et parfois le hiatus est très douloureux à vivre.
Puisqu’on ne choisit pas sa vie et que parfois on la subit et que le ressenti douloureux est consubstanciel de l’individu,personnel et irréductible, je prône la liberté suprême à savoir celle de xhoisir sa révérence à une vie qui vous pèse...C’est un choix ultime qui n’a pas à être jugé, jaugé.