Voir mes commentaires de 10h05 et 10h13 . Contrairement à ce que laisse entendre l’article, les médias sont très gentils avec la diva Royal. Elle était, au moment des faits, chargée de mission au secrétariat de la présidence de la République. Parmi les compétences qu’elle déclare dans son curriculum vitae sur cette époque se trouve l’environnement. Ce qui peut expliquer les contacts, pour le moins étranges, avec des groupes écologistes que laisse entendre l’Express et que rappelle un autre article :
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=12339
« D’après l’Express du 16 mars 2006, Ségolène Royal, »ignorant, semble-t-il, l’activité de son frère, avait projeté de rallier l’atoll de Mururoa, en compagnie de militants d’associations antinucléaires« . Mais sa biographie spécifie qu’elle était de 1982 à 1988 »chargée de mission au secrétariat général de la Présidence de la République pour les questions de santé, d’environnement et de jeunesse« . La version des faits que répercute L’Express peut donc, à force de vouloir bétonner, susciter quelques interrogations. Comment une chargée de mission de la présidence de la République, liée à ce titre par une très forte obligation de réserve, pouvait-elle envisager de participer publiquement à une manifestation contre la politique nucléaire française ? D’autant plus que Ségolène Royal avait choisi, à la sortie de l’ENA, une affectation de juge administrative. Ou c’est l’éternel décalage entre les paroles et les faits ? »