Lorsque je parle de l’adaptation du logis d’un liliputien je ne parle que de sa hauteur le rest ne générant que peu ou pas de gène pour une personne de taille normale. Je dis bien que les chiottes doivent être uniques mais adaptés à tous, donc larges pour fauteuils roulants et munis du nécessaire pour les femmes. N’y a-t-il pas déjà souvent des barres de relevage, et cela gène-t-il ?
Maintenant qu’il y ait des internats mixtes si chaque enfant a sa propre chambre ne me gène en rien, on entre dans le domaine du privé et là il y a peu à dire et en tout cas le garçon ou la fille s’il veut voir l’autre développera un génie de la débrouille pour arriver à ses fins.
Quant à l’enseignement, je ne vois pas mes enfants ou les amis de ceux-ci passer leur vie les yeux rivés sr les culottes des autres, ils pensent à bien d’autres choses et dans le cas d’un comportement atypique, au moins ils sot encadrés, ce qui ne serait pas le cas si sevrés ils transféraient ce comportement à la rue avec n’importe qui d’inconnu. En séparant les sexes on déplace le problème (en est-ce un ?) vers d’autres lieux plus troubles. L’enseignement consiste aussi à apprendre à vivre en société, comment pourrait-on expliquer ceci et agir à l’opposé ?
"Et puis, enfin, où voyez-vous l’apparition d’un réflexe religieux dans de cette mesure ? Au mieux, il y aurait recul (léger) de la laïcité"
Voilà le noeud gordien, il n’y a que les religions qui pronent la non-mixité et uniquement elles, ce n’est donc pas faire de l’amalgame que de le dire, et le moindre recul de la laïcité est une avancée de la religion, une occupation de l’espace, voyez le résultat du recul de l’état dans certains quartiers, ce n’est pas un fantasme mais bien la réalité, et entendons nous bien ce n’est pas propre à une religion mais bien à toutes.
Ne croyez pas que je sois un vieux réac arcbouté, je suis simplement vigilent et les institutions sont tellement fragiles (voir ce qu’en fait aujourd’hui NS) que la moindre reculade est un pas de géant vers l’obscurantisme et la mise en danger de la liberté.