L’immigration et l’exploitation de ses ressources sont un vaste sujet et sans rentrer dans l’hypocrisie d’un dialogue politiquement correct, sur lequel on a malheureusement l’habitude de crier HARO à l’extrémisme ! au Nationalisme !!!.
Ce dialogue n’ayant pour object que de servir certains intérêts. Elle n’en est pas moins un véritable problème.
Et si sous des airs de le dire sans le penser, la thèse de l’auteur pourrait être assimiler à ces pensées, la problématique n’en est pas moins biens exposés dans son ensemble.
Au dela des clivages d’assistanat, d’exploitation... et du langage politiquement correct sur l’immigration. La France ne peut pas supporter ou accueillir toute la misère du monde et la financer par son système de protection social. Monaco n’abolie pas totalement l’impôt pour les ressortissants étranger et l’on ne crie pas Haro à l’extrémisme.
D’ailleurs, pourquoi devrions nous faire bénéficier tous les travailleurs étrangers de notre système de protection social (sachant que démographiquement c’est loin d’être à notre avantage, un simple cotisant pouvant faire bénéficier ascendant et descendant des prestations sociales et de tout le cortège d’aide diverses et variés tout en ne payant pas d’impôt, du fait d’une faible rémunération). Soyons logique et conscient et arrêtons l’hypopcrisie d’une comptabilité ex ante de bon sens.
Quand au bénéfice de l’immigration clandestine ou pas, il est bien définit dans son exploitation, mais dans son résultat beaucoup moins. Il n’est aucunement de mon dessein d’être nationaliste, mais bien d’aborder un déséquilibre organique organisé.
En effet, chacun sait que la majeure partie des immigrants réexpédie son épargne dans son pays d’origine pour y investir massivement. Ce qui ne profite ni à l’enrichissement du pays, ni à l’amélioration de nos comptes sociaux du fait de la CSP de cette population.
Si l’exploitation toujours grandissante des plus démuni et particuliérement des immigrés (légaux ou pas) est entendu. Celle-ci ne profite bizarrement pas à la réduction des prix des biens et services produits (dont l’utilisation est principalement nationale, construction, nettoyage....), mais bien uniquement au profit des entreprises. De ce fait, cela a de multiples impacts négatifs sur l’économie du pays en terme de chomage, de coût de la vie...
Ce qui s’avère donc au détriment du plus grand nombre tout en maintenant une pression sociale très utile pour quelques uns (c’est donc bien là l’utilité de discréditer un dialogue lucide dans l’amalgame d’une appelation extrémiste ou nationaliste... à tous propos sur l’immigration et son traitement)
On orchestre donc bien la privatisation des bénéfices par une nationalisation de la dette, avec le bonus d’une paix sociale et d’une pression sur la dérégulation des rapports sociaux. Elle est d’ailleurs exploité démagogiquement et avantageusement pour stimatiser un modèle social Français.
Mais à aucun moment, on ne mentionne les carences et erreurs volontaires et flagrantes dans les décisions politiques de gauche et de droite. Les premiers alimentant le fond du second, la gauche régulariant, la droite exploitant, mais toujours au bénéfice d’une dérégulation du système et du dénigrement de la protection sociale.
Finalement, si tout ces étrangers viennent bien en France pour travailler et non pas pour profiter de notre système de protection sociale. Alors pourquoi sont ils si nombreux à vouloir être régularisé tout en prévoyant et organisant investissement et retour au pays. Etrange paradox entre le dialogue politique et la réalité du terrain ?
Admettons que les motivations de cette immigration soient purement salariales. Supprimons donc toutes protections sociales pour les immigrants, régularisé ou pas pendant 5 générations (modèle du système Monegasque), tout en maintenant les cotisations pour les entreprises et en renforcant les contrôles sur le travail dissimulé.
Ce dialogue n’a rien d’extrémiste, n’y de nationaliste, il applique objectivement et simplement les propos de chacun des principaux antagonistes. Bizarrement ces solutions n’ont jamais été abordées pourtant :
1) C’est une solution aux déficits de la protection sociale en France,
2) Ca va surement limiter les flux migratoire aux motivations ambigues et les demandes de nationalité française faussement justifié
3) Amoindrira l’avantage du recours à la main d’oeuvre étrangére ou dissimulés pour les entreprises sur l’hexagone
4) Nos niveaux de rémunération permettront toujours aux immigrants d’investir leur épargne vers leur pays d’origine.
5) Il n’empêche aucunement l’immigration, mais l’abus de notre système de protection social qui est au coeur de toutes les polémiques
Cela bénéficie au plus grand nombre, c’est un système qui reprend les même mécanisme que le système économique actuel qui semble être inéluctable, au meme titre que l’immigration.
Quand au communitarisme de certaines de ces populations il est reconnu. Il serait donc moins hypocrite de reconnaitre objectivement que la volonté d’intégration n’est pas dans le sens majoritairement exprimé d’une xénophobie de la population locale, mais principalement dans le refus de certaines populations de s’intégrer à la culture locale. Et dans certains cas, celles-ci font même preuve de racisme envers l’autochtone, ce qui n’est pas le moindre des paradox, lorsque l’on parle de ghettoisation ...
De ce fait, c’est aussi le nombre d’immigré qui est alarmant, sachant que la sécurité interne d’un pays est soumise à caution au delà d’une proportion de 10% de la population nationale.
Les émeutes attisées de 2006 ont bien montré notre incapacité à juguler une insurrection anarchique et majoritairement communautaire , (enfin, c’est ce qu’on nous à dit et montré !)